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J'ai le droit de manger « pas halal » !

J'ai le droit de manger « pas halal » !

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Cette pétition a été lancée par DANIELLE H. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
DANIELLE H.
a lancé une pétition à destination de
Commission Européenne, direction générale de l'agriculture et direction générale santé et consommateurs, bien-être des animaux. Mr Elio Di Rupo, 1er ministre. Mr Philippe Henry, ministre ECOLO au gouvernement wallon. Mr Carlo Di Antonio, ministre wallon d, Mme Sabine Laruelle, ministre fédérale de l'agriculture. Le parti ECOLO. La Ligue des Droits de l'Homme. La chaîne Bleue Mondiale des Animaux. WWF. GAÏA.
VOUS MANGEZ HALAL SANS LE SAVOIR !

Selon des estimations récentes, 50% environ de la viande consommée est maintenant halal.
Car si les musulmans sont encore minoritaires, ils ne consomment que certains morceaux, et on ne peut laisser perdre le reste de la carcasse.
Les restes sont vendus aux citoyens non-musulmans sans qu'ils le sachent.
De plus les industriels trouvent plus simple et plus profitable de n'avoir qu'une seule chaîne d'abattage : ainsi des bêtes entières qui seront consommées hors du marché halal sont néanmoins égorgées selon ce rite oriental.

Voici une information un peu technique au départ mais très importante.
Par Alain de Peretti, docteur vétérinaire.

On évoque toujours les problèmes posés en la matière par la souffrance animale, et par la taxe de financement occulte de l'islam par les consommateurs.
Ces problèmes sont bien sûrs réels.
Il en est un autre qui nous concerne tous et mérite d'être évoqué, une question essentielle et occultée : l'aspect sanitaire et de sécurité alimentaire.
Alain de Peretti :

…"en effet, rappelons que dans l'abattage halal, l'animal est tourné vers la Mecque, saigné sans étourdissement ; il est pratiqué une très large incision de la gorge jusqu'aux vertèbres, sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour la saignée, mais aussi la trachée et l'œsophage".

Cette pratique entraîne les conséquences anatomo-physiologiques suivantes : une régurgitation du contenu de l'estomac par l'œsophage, lequel se trouve anatomiquement juste à côté de la trachée.
L'animal continue de respirer, même très fort du fait de l'agonie qui peut durer jusqu'à 1/4 d'heure rappelons le, et inspire ces matières souillées riches en germes de toutes sortes.

Ces matières inspirées jusqu'aux alvéoles pulmonaires larguent leurs germes dans le sang d'autant plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et que la circulation sanguine, rappelons-le, est toujours en cours dans cette période d'agonie, et même accélérée par le stress au niveau des organes essentiels.
Un risque énorme de contamination en profondeur de la viande est donc encouru.
On observe de plus, du fait du stress intense, 2 phénomènes physiologiques qui se conjuguent : la chute de tous les mécanismes de défense immunitaires, et la concentration du sang dans les organes essentiels, on peut dire que l'animal « retient son sang ».
C'est un processus naturel de survie qui entraîne vraisemblablement d'ailleurs une saignée moins bonne contrairement aux allégations des tenants de cette pratique.
Il y a de plus une forte production de toxines.
La longueur de l'agonie entraîne enfin des soubresauts violents accompagnés de défécation et émission d'urine, le tout éclaboussant toute la zone d'abattage !
On voit donc bien les conséquences pour la sécurité alimentaire des consommateurs.

C'est si vrai que le règlement européen, CEE 853/2004, dans son annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l'abattage, paragraphe 7, alinéa (a) dit : " LA TRACHÉE ET L'OSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE " (avec une dérogation pour l'abattage rituel).

Le problème est que, selon des estimations récentes, 50% environ de la viande consommée est maintenant halal.
Car si les musulmans sont encore minoritaires, ils ne consomment que certains morceaux, et on ne peut laisser perdre le reste de la carcasse.
Les restes sont vendus aux citoyens non-musulmans sans qu'ils le sachent.
De plus les industriels trouvent plus simple et plus profitable de n'avoir qu'une seule chaîne d'abattage : ainsi des bêtes entières qui seront consommées hors du marché halal sont néanmoins égorgées selon ce rite oriental.
Conclusion : On enfreint le sacro-saint principe de précaution, pour respecter une pratique irrationnelle, insoutenable sur tous les plans, basée sur une superstition moyenâgeuse.
Dans ces conditions, les actuelles dérogations à la réglementation européenne permettant l'abattage rituel sont-elles acceptables ?
La multiplication des cas de toxi-infections alimentaires est en tous cas prévisible. Et elle touchera surtout des non musulmans, inconscients de ces risques incontrôlés et dont les habitudes culinaires les amènent à consommer la viande beaucoup moins cuite.

Alain de Peretti, docteur vétérinaire, pour Novopress France.

Je ne suis pas musulman(e), j’ai le droit de manger « pas halal » !

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