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Mr Le président de la république: L'arrêt de l'installation des compteurs LINKY et GAZPART

Mr Le président de la république: L'arrêt de l'installation des compteurs LINKY et GAZPART

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Cette pétition a été lancée par ROBERT R. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
ROBERT R.
a lancé une pétition à destination de
Mr Le président de la république
Cela met
en danger la santé des français. C'est encore un futur scandale genre
"amiante". 

Essayons de l’arrêter avant qu'il ne fasse le
même nombre de morts ou de malades que l'amiante. 

La décision doit être prise par le gouvernement
français le 1 décembre 2015, il nous reste très peu de temps pour agir et
contrer cette opération de grande envergure qui met en danger la santé des
français.



Une lettre au Président de la république peut,
en plus de la pétition, 

 également être envoyé à l'Elysée, vous
trouverez le modèle de la lettre après les liens.



Plus d'infos sur les liens ci après :

http://www.radiofrequences.gouv.fr/spip.php?article38

http://www.santepublique-editions.fr/

http://www.lemoniteur.fr/article/le-compteur-communicant-linky-a-son-centre-de-test-30397610#utm_sou........

http://regenere.org/videos/

                     
                     
                     
                     
                     
 Le        novembre 2015                                                                                                                                                                        NomAdresse                                                                      À l’attention personnelle de :                                                                      Monsieur François
Hollande                                                                    Président de la République Française
  Lettre
recommandée
AR                             
Palais de l’Elysée  N°                                                                 55, rue du Faubourg St
Honoré                                                                                     75008 PARIS      Objet :    Mise en danger délibérée
d’autrui par les compteurs LINKY et GAZPAR, par les boîtiers d’effacement et
par tous les dispositifs individuels de comptage émetteurs d’ondes
radio-électriques, que nous vous demandons solennellement d’interdire. 
    Monsieur le Président de la
République,   Par la présente, je vous demande
solennellement de renoncer dès aujourd’hui à déployer les compteurs LINKY et
GAZPAR sur le territoire français,La loi de transition énergétique,
revêtue de votre signature, de celle de votre Premier ministre Manuel Valls, de
celle de Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, et de celle de la ministre du
Logement Sylvia Pinel, a été publiée au  Journal
Officiel
 le 18 août 2015.
Elle instaure le déploiement des compteurs électriques Linky et des compteurs
de gaz Gazpar et plafonne la capacité de production nucléaire à 63,2 gigawatts.  Je demande au premier
représentant de l’Etat que vous êtes, actionnaire à 85 % d’EDF,  d’enjoindre à M. Lévy , Pdg d’EDF
:1.                 de renoncer à ce « grand
lancement » du Linky le 1er  décembre prochain, 2.                 de ne déployer AUCUN compteur Linky
sur notre territoire à compter de ce jour 3.                 de faire procéder au démontage de tous
ceux qui ont déjà été installés4.                 Ma demande vaut également pour les
compteurs GazparLes compteurs Linky transmettent
la consommation électrique en temps réel en injectant dans les circuits
électriques des fréquences radio dites « CPL » (Courant porteur en
ligne). 700.000 postes de transformation (concentrateurs) seront équipés
d’ordinateurs et d’antennes-relais « GPRS » émettant des micro-ondes
quasiment à hauteur d’homme. Le but de cette opération : éteindre à
distance les appareils électriques chez les particuliers pour effacer les pics
de consommation quotidiens, particulièrement élevés en France, pays qui compte
à lui seul pour la moitié du pic enregistré dans l’ensemble des pays européens,
et ce en raison de ses 40 % de logements équipés de radiateurs électriques.Les
fréquences radio CPL par lesquelles chaque compteur Linky communique
« en amont »  avec le poste de transformation sont
également injectées en continu « en aval » dans les logements,
dans l’ensemble des câbles et fils électriques, ainsi que dans tous les appareils
électriques Le niveau
d’exposition continue aux ondes radioélectriques de l’ensemble de la population
augmentera considérablement partout : dans les domiciles, les lieux de travail,
les espaces collectifs, et même dans les rues, puisque les trottoirs urbains
sont truffés de câbles électriques. Les
choix que M. Lévy et vous - même  avez
faits  sont contraires à
l’intérêt de la France La démonstration et les arguments ont déjà été
mentionnés dans la lettre du 23 juillet dernier qui vous a été adressée par la
journaliste Annie Lobé.Au plan technique, les câbles, fils et appareils
électriques ne sont pas prévus pour transporter des radiofréquences. Cela
déclenche des incendies et des pannes, ce dont EDF est parfaitement conscient
puisqu’il s’exonère de toute responsabilité, ainsi que sa filiale à 100 %
ERDF, dans ses nouvelles conditions générales de vente 2015 applicables tant
aux particuliers qu’aux professionnels pour les compteurs jusqu’à 36 kVa
(tarif Bleu). Lors de
l’expérimentation menée en France en 2010 dans seulement deux régions de France
(Indre-et-Loire et région lyonnaise), 7 incendies ont été déclenchés en
quelques semaines . La survenue
d’incendies en lien avec des « smart meters » (compteurs
intelligents) est observée depuis longtemps . Vous avez déjà reçu une
compilation d’articles (en anglais) relatant les cas d’explosions et
d’incendies survenus dans d’autres pays. Vous
ne pouvez vous exonérer de votre devoir de tirer les leçons de ces drames et
c’est pourquoi vous devez enjoindre à EDF de renoncer au déploiement du Linky
sur l’ensemble du territoire français, y compris les départements d' Outre-mer. EDF est parfaitement conscient
de ces risques, qui ne constituent pas une nouveauté récemment découverte. La
preuve se trouve dans ses nouvelles conditions générales de vente (CGV) du 15
juillet 2015, applicables aux contrats signés antérieurement (Tarif Bleu), qui
« évoluent ». Tout le monde est donc concerné, et pas seulement les
nouveaux clients d'EDF ou ceux qui changent leur contrat. Les nouvelles CGV
pour les clients non résidentiels, qui évoluent de la même façon, sont
applicables au 1er novembre 2015 . En cas de non acceptation, EDF autorise
ses clients professionnels à résilier leur contrat sans pénalités dans un délai
de trois mois. EDF impose ainsi à tous ses clients, le Linky et ses
risques par le truchement de la modification unilatérale et imposée de ses
conditions générales de vente, ce qui est illégal puisqu’aucune sanction n’a
été instaurée par la loi publiée le 18 août 2015 en cas de refus du Linky. Dans la nouvelle rédaction des CGV
d’EDF, tout incendie est assimilé à un cas de force majeure, dans lequel EDF
s’arroge le droit de dégager sa responsabilité, ainsi que celle de sa filiale à
100 % ERDF, laquelle n’est pas partie au contrat et se trouve en situation de
monopole pour la distribution d’électricité. Cela
signifie qu’en cas d'incendie provoqué par le compteur Linky ou par les
radiofréquences qu'il injectera dans nos câbles et fils électriques, ainsi que
dans les appareils électriques, qui ne sont pas blindés contre ces
radiofréquences, il appartiendra au client –c’est-à-dire à la victime– de
prouver la responsabilité d'ERDF. "ERDF est responsable des
dommages directs et certains (...) sauf dans le cas de force majeure décrit ci-dessous
: (...) 

- Les dommages causés par des faits accidentels et non maîtrisables, imputables
à des tiers, tels qu'incendies, explosions, ou chute d'aéronefs."
 La victime de l’incendie n’aura que 20 jours pour
faire parvenir sa réclamation à EDF/ERDF contenant les éléments de l’expertise
de l’assurance :  "Lorsqu’elle
est accompagnée d’une demande d’indemnisation, la réclamation doit être
adressée par lettre recommandée avec demande d’avis de réception, dans un délai
de 20 jours calendaires à compter de la survenance du dommage ou de la date à
laquelle il en a eu connaissance, et doit mentionner la date, le lieu et si
possible l’heure de(s) incident(s) supposé(s) être à l’origine du dommage,
ainsi que la nature et si possible le montant estimé des dommages directs et
certains."
 EDF dégage également
sa responsabilité et celle d'ERDF en cas de pannes chez ses clients provoquées
par le Linky. Ce sera donc au client de prouver que ces pannes ont été causées
par le Linky :  "ERDF
n'encourt pas de responsabilité en raison de la défectuosité ou d'un défaut de
sécurité des installations intérieures du client qui ne serait pas du fait
d'ERDF
". Or, des pannes répétées d’ordinateurs et de
téléviseurs ont déjà été constatées dans des logements équipés de compteurs
Linky. Chez des commerçants, ces pannes ont touché le matériel professionnel,
la réparation a été faite à leurs frais : par exemple, 600 euros de
réparation pour une table à repasser professionnelle dans un pressing, tombée
en panne 

le jour-même de l’installation du nouveau compteur. J’attire
votre attention sur la désorganisation qui interviendra lorsque les commerces,
notamment les commerces alimentaires, subiront des pannes répétées de
réfrigérateurs et des pertes de marchandises ou lorsque les pharmacies ne
pourront plus délivrer de médicaments en raison de pannes informatiques. A
terme, toutes les TPE (Très petites entreprises) et PME (Petites et moyennes
entreprises) victimes de pannes informatiques et électriques à répétition
mettront la clé sous la porte. Le
Linky met en péril tous les commerçants, artisans et petites entreprises quel
que soit leur domaine d’activité, en raison des pannes informatiques qu’il
induit (constatées à Bagneux, 92, où des particuliers sont toujours chez leur
réparateur car leur ordinateur et leur télévision tombent sans arrêt en
panne  depuis l’installation
de compteurs Linky dans un immeuble HLM). L’alerte
que je vous adresse aujourd’hui est donc très sérieuse : Le Linky menace
l’économie française toute entière, puisque son déploiement est prévu chez tous
les abonnés disposant d’un compteur d’une puissance inférieure ou égale à 36
kVA, particuliers et professionnels, quel que soit leur fournisseur
d’électricité.  Ces risques
techniques importants sont majorés par la fragilité du matériel électronique
face aux circonstances exceptionnelles, comme l’ont démontré les incendies qui
se sont déclenchés, lors de la canicule de début juillet 2015, là où les
travaux de déploiement du Linky dans les transformateurs avaient déjà commencé
: Bretagne, Pays-de-Loire, Nord et région Lyonnaise. Dans certains cas, il a
fallu plus de 12 heures pour rétablir le courant. EDF a menti en affirmant aux
services de Madame Royal, ministre de l’Energie et de l’Ecologie et porteuse de
la loi de transition énergétique, que la cause de ces incendies d’un genre
nouveau, qui ne s’étaient jamais produits lors des précédents épisodes de
canicule, était une brusque montée de température dans des régions initialement
« froides ». Si les
circuits et équipements des particuliers et des entreprises ont été
majoritairement rénovés depuis leur installation, en revanche, s’agissant du
réseau communal entretenu par RTE, autre filiale d’EDF, la baisse des
investissements pendant 10 ans a considérablement dégradé l’état des installations,
dont la moyenne d’âge est de 45 ans. Dans
les logements aussi, les incendies d’origine électrique seront démultipliés. Au
nombre de 60.000 par an actuellement en France, ces incendies sont causés par
des points de chauffe sur les circuits électriques de 50 hertz. Ils provoquent
déjà 200 morts et 4 000 blessés chaque année. L’ajout de radiofréquences
dans ces circuits électriques 50 hertz augmentera inéluctablement le
nombre de ces incendies d’origine électrique. En
promulguant le 17 août 2015 cette loi instaurant le Linky en dépit de
l’avertissement que vous aviez préalablement reçu le 27 juillet 2015 au sujet
des risques d’incendie du Linky, vous êtes devenu civilement responsable des
décès consécutifs à ces incendies. Quant
au compteur de gaz Gazpar, il induit des risques d’explosion en créant des
zones ATEX (à risque d’explosion). Ces explosions ne manqueront pas de
provoquer des incendies et des décès. - L’analyse technico-financière ne prend
pas en compte le remplacement des compteurs et des concentrateurs dès la
deuxième génération dans respectivement 

15 ans et 10 ans. La Commission de
régulation de l’énergie (CRE) a décidé de lancer la France dans l’aventure du
Linky sur la base d’une étude qu’elle avait confiée à la société Capgemini, l’un
des acteurs majeurs du secteur du « smart grid » (réseau des
compteurs évolués ou « intelligents »), donc en situation de conflit
d’intérêts. Le rapport de
Capgemini du 8 mars 2007 précise, p. 27, que la durée de vie des matériels
est de 15 ans pour les compteurs et de 10 ans pour les concentrateurs et
mentionne, p. 38, que « leur remplacement dès la deuxième génération
n’est pas pris en compte ». Cela
signifie qu’après avoir investi 7 milliards d’euros, coût estimé du
déploiement de la première génération Linky, la France devra recommencer dans
10 à 15 ans sous peine de ne plus pouvoir utiliser l’électricité. Quelle
dangereuse façon de créer de l’activité ! Et
vous ne devez pas croire ceux qui prétendent aujourd’hui que la durée de vie
des concentrateurs est de 20 ans. Philippe Faugeras, qui dirige la société
Webdyn fabricant des puces pour les concentrateurs du système Linky, rencontré
le 8 octobre 2015 sur le salon Smart city/Smart grid, a avoué avec
franchise :  « Dans
vingt ans, je ne serai plus là. On m’a demandé de signer pour garantir une
durée de vingt ans et j’ai signé. C’est tout ! »
, en réponse
à ma question :  « Comment
avez-vous fait pour allonger la durée de vie de 10 à 20 ans ? » 
 Pour
ce qui est de l’allongement de la durée de vie du compteur communicant de gaz
GAZPAR  : « Le métal a été remplacé par du plastique » , a
affirmé un salarié sur le stand de la société Distrame (revendeur d’équipements
de mesure), avant qu’un collègue vienne à sa rescousse en reprenant la
conversation, puis que le président directeur général Michel Vignal, après un
échange de trois phrases, m’enjoigne sèchement de quitter son stand.
Evidemment, on ne voit pas en quoi le plastique est plus durable que le métal…
Bien au contraire, dans un environnement à risque d’explosion (ATEX), donc à
risque d’incendie, le métal, ininflammable, est hautement préférable au
plastique ! Il ne vous aura pas échappé que l’analyse
technico-financière de Capgemini ne prend pas non plus en compte le coût de
réparation et de remplacement du matériel endommagé par les radiofréquences
chez les particuliers, chez les commerçants, artisans, et dans les entreprises. Si elle met le doigt dans l’engrenage
Linky, la France deviendra prisonnière d’un système électrique ruineux et
éphémère, mettant en péril la compétitivité des entreprises qui devront
financer la réparation et le remplacement de leur matériel électrique et
électronique, et fragilisant l’économie du pays dans sa globalité.  L’informatisation des réseaux
électriques rendra la France vulnérable au piratage, à l’espionnage et au
cyber-terrorisme pouvant provoquer le black-out. Des hackers ont déjà expliqué comment ils avaient
piraté un « smart-meter » (compteur intelligent), en réussissant sans peine à
lui faire afficher une consommation négative. La CNIL a montré par un graphique
le niveau de précision de la connaissance de ce qui se passe dans le logement à
partir de la connaissance en temps réel des variations de la consommation
électrique : on sait si le logement est vide ou occupé, combien de personnes
sont présentes, et même à quelles activités elles se livrent à travers des
interfaces logicielles, déjà développées et existantes, capables de détecter la
« signature » de chaque appareil à l’allumage.Source : http://www.ecoco2.com/blog/7521-la-cnil-emet-ses-premieres-recommandations-sur-les-compteurs-communi.... ; http://www.ecoco2.com/images/blog/2013/suivi_conso_elec_7janvier2013_EcoCO2.png Avec le CPL du système Linky, un féru d’informatique
pourra bloquer à distance la fourniture d’électricité, de façon ciblée ou
généralisée. Les bandes organisées de cambrioleurs pourront identifier les
logements et même les quartiers vides. A
l’heure où le terrorisme investit le champ de la cyber-attaque (comme on l’a vu
pour la chaîne de télévision TV5), des régions entières pourront être plongées
dans un black-out prolongé, susceptible d’engendrer de surcroît un risque
nucléaire majeur dans les régions où la production des réacteurs nucléaires ne
sera plus absorbée par le réseau, engendrant des catastrophes en chaîne.  Les radiofréquences CPL du Linky
sont officiellement classées « potentiellement cancérigènes » (catégorie 2B) depuis 4 ans par le
Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui dépend de l’OMS. Ce classement annoncé par un communiqué du 31 mai 2011
du CIRC, confirmé par la monographie n° 102 parue en 2013, concerne aussi bien
les radiofréquences CPL et les micro-ondes GPRS du Linky, que les micro-ondes
des téléphones portables 2G, 3G et 4G, et le wifi. Monsieur Olivier DAVID, sous -
directeur du système électrique et des énergies renouvelables au ministère de
l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie, à Direction de l’Énergie,
a écrit dans une lettre du 9 septembre 2015 rédigée à la demande de Madame
Ségolène Royal, qui a personnellement reçu, fin juillet 2015, plus de
40 lettres recommandées et Chronopost l’avertissant de l’ensemble des
dangers du Linky :  "Le
compteur Linky est un équipement électrique de basse puissance, dont le
rayonnement est équivalent à celui d’un compteur bleu électronique. Il n’émet
pas de radiofréquences (ondes radio) : il communique avec les
concentrateurs, situés dans les postes de distribution, en utilisant la
technologie des courants porteurs en ligne."
  Monsieur DAVID est mal informé, car la les
fréquences de fonctionnement de la technologie des courants porteurs en ligne
appartiennent à la gamme des radiofréquences. En effet, selon deux documents
émanant d’ERDF , les fréquences intentionnellement émises vont de 63 à 74 kilohertz (kHz) pour le CPL g3 et g1 ( ERDF :
spécifications du profil CPL Linky, 30/09/2000, extrait p. 7 pour le CPL g1 et
, ERDF, spécification de la couche physique CPL G3, voir p. 12, 35 et 36,
document non daté). Le CPL g1, technologie obsolète car fortement
pourvoyeuse d’interférences électromagnétiques, sera installée et utilisée par
1,5 millions de compteurs Linky en cours de fabrication . Quant à savoir si ces
fréquences appartiennent à la gamme dénommée « radiofréquences », la
réponse est apportée par  le
site officiel  http://www.radiofrequences.gouv.fr/spip.php?article38 : sont ainsi dénommées les fréquences
comprises entre 10 kHz et 1 GHz (entre 10 kilohertz et 1 gigahertz), c’est
à dire dont la longueur d’onde est comprise entre 30 kilomètres et 1
millimètre  . Pour ce qui concerne le rapport qui doit être
prochainement établi par l’ANSES, il sera important de prendre en compte, dans
les mesures qui vont être faites, non pas seulement les fréquences
intentionnellement émises par les compteurs CPL Linky et par les concentrateurs
GPRS (3G), mais également toutes les fréquences harmoniques. Nous serons particulièrement attentifs
au calibrage et au réglage des analyseurs de spectre qui seront utilisés, afin
que ne se reproduisent pas les erreurs grossières que le CRIIREM a commises en
ne mesurant même, dans son expertise du 10 juillet 2012, aucune fréquence en
kilohertz (seules les fréquences en mégahertz apparaissent dans les copies
d’écran fournies ; ce qui a été mesuré, c’est donc le champ ambiant issu
de la téléphonie mobile et non les émissions des compteurs Linky, ce qui
explique pourquoi un compteur qui n’est pas un Linky , obtient les mêmes
résultats de mesure que les autres compteurs, qui sont des Linky). Instaurer par la loi le déploiement du
Linky revient à autoriser l’installation massive d’un produit dangereux en
contrevenant aux plus récentes recommandations de l’Anses (Agence sanitaire de
l’alimentation, de l’environnement et du travail), qui a recommandé en 2013 de
« réduire les expositions ». Un
courrier Chronopost de 6 kg contenant les témoignages de 150
personnes électrosensibles, ainsi que 60 articles scientifiques prouvant les
effets délétères des ondes a été adressé à Madame Ségolène Royal, ministre de
l’Ecologie et de l’Energie, et réceptionné le 8 juillet 2015 à 12 h par le
gendarme de l’accueil au 246, boulevard St-Germain à Paris, où est situé son
bureau et celui des membres de son Cabinet, en particulier de M. Philippe
Bodenez, en charge des risques technologiques. Le chef de cabinet, chargé de la
correspondance qui lui est-adressée, est M.Guillaume Choisy. En
donnant, le 9 juillet 2015, un avis défavorable à trois amendements qui
visaient à rendre le Linky non obligatoire, Madame Royal s’est rendue passible
de « mise en danger délibérée de la vie d’autrui », pouvant être
invoquée en justice par toute personne malade  après la mise en place d’un compteur
Linky à son domicile. Le prétexte invoqué le 10 juillet 2015 à 10 h par le
chef de cabinet, Monsieur Guillaume Choisy, selon lequel ce courrier ne lui
serait pas encore parvenu, est à peine plausible. Il ne pèsera pas lourd face
aux juges puisque Madame la ministre a persisté dans son attitude de déni,
malgré la réception de plus de 40 lettres recommandées et Chronopost, lors de
l’ultime lecture devant l’Assemblée nationale qui s’est déroulée « à la
hussarde » en une seule journée, le mercredi 22 juillet, avec une réunion
matinale de la commission spéciale suivie par l’adoption définitive, par un
vote à main levée et non par scrutin public, à l’issue d’une unique séance
publique de 3h45, qui s’est déroulée l’après midi même ! Une délégation parisienne représentant plusieurs
milliers de personnes rendues électrohypersensibles en France par le niveau
actuel d’exposition électromagnétique et radioélectrique -ce qui prouve que les
valeurs limites en vigueur ne sont pas suffisamment protectrices de la
population - avait auparavant vainement tenté, depuis le 26 mai 2015, par des
relances téléphoniques quasi quotidiennes, d’obtenir un rendez-vous avec Madame
Ségolène Royal avant l’adoption de cette loi. Le 10 juillet 2015, deux membres
de cette délégation ont été brièvement reçus par M. Guillaume Choisy, le
chef de cabinet de Madame Royal, à qui ils ont remis 32.715 signatures des
diverses pétitions contre Linky accompagnées d’une nouvelle lettre de demande
de rendez-vous. Ces personnes,
qui subissent des effets aigus causés par l’exposition radioélectrique et
électromagnétique savent que si le système Linky est déployé en France, elles
seront en danger de mort car elles ne pourront plus fuir nulle part. Et quand
bien même elles parviendraient à trouver un refuge, elles devront renoncer
complètement à l’usage de l’électricité, et ne pourront plus accéder à aucun
lieu public ni commerce. Leur situation de handicap s’aggravera
irrémédiablement. Déjà, leur vie quotidienne est complètement bouleversée par
les précautions qu’elles doivent prendre pour se soustraire à toute exposition,
seule façon de calmer leurs symptômes, et leur activité professionnelle est
fortement perturbée, pour celles qui n’ont pas déjà été contraintes
d’abandonner leur travail. Vous
avez reçu les témoignages particulièrement éloquents de deux personnes
électrohypersensibles qui ont déjà été confrontées directement au CPL. Ces deux
personnes ont été rendues électrohypersensibles par d’autres technologies. Leur
vie deviendra impossible si le système Linky est déployé en France. Et il ne
suffira pas de leur accorder la possibilité de refuser le compteur Linky à domicile,
car si les rayonnements CPL sont partout ailleurs, dans les rues, dont les
trottoirs sont truffés de câbles électriques, chez les commerçants et dans les
bâtiments publics, elles ne pourront plus sortir de chez elles. De plus, pour
les protéger à domicile, compte tenu du mode de propagation des ondes radio,
aucun autre logement dans leur immeuble, voire dans leur rue, ne devrait être
équipé de Linky. Les
personnes  devenues
électrohypersensibles sont les sentinelles qui donnent l’alerte: si le système Linky
est déployé, l’augmentation exponentielle de l’exposition électromagnétique de
l’ensemble de la population déclenchera un très grand nombre de nouveaux cas
d’électrohypersensibilité qui, lorsqu’il se chiffrera en milliers voire en
centaines de milliers ou en millions, ne manquera pas d’avoir des répercussions
sur la compétitivité des entreprises françaises. Madame la Ministre Ségolène Royal a reçu le 8 juillet
2015 les témoignages de plus de 150 personnes devenues
électrohypersensibles en vivant sur le territoire français. Dans l’immédiat, il est impératif que
Madame Ségolène Neuville, secrétaire d’Etat en charge des personnes
handicapées, reçoive des représentants de ces personnes afin d’engager sans
délai les démarches nécessaires pour que l’électrohypersensibilité soit
officiellement reconnue en France et pour que toutes les personnes
électrohypersensibles obtiennent rapidement la reconnaissance officielle leur
situation de handicap.  -   Le système Linky est déjà obsolète
et le sera encore plus à la fin du déploiement des 35 millions de compteurs,
dans 7 à 8 ans, en 2022-2023. La conception du compteur Linky
remonte à 2006, à une époque où l’Iphone n’existait pas. Le pas de charge du
Linky n’est pas adéquat pour éteindre et allumer à distance les appareils
électriques chez les particuliers, une action dénommée « effacement diffus »
dans la loi de transition énergétique. Les mécanismes financiers de
l’effacement eux-mêmes ne sont pas établis et doivent faire l’objet d’un
rapport qui sera remis dans trois ans (article n°168
alinéa 11 dans le texte de loi – ex article 46bis alinéa 11). L’effacement se pratique déjà chez environ 70.000
clients volontaires de la société Voltalis, au moyen d’un boîtier appelé
Voltalux, placé en aval du compteur (dans le logement) et fonctionnant avec des
micro-ondes, qui provoque des « micro-coupures » Techniquement, Linky ne permet
pas l’effacement, et il ne permet pas non plus au consommateur de savoir
combien il consomme. D’une part, parce que dans 40 % des logements, le compteur
est situé à l’extérieur, d’autre part parce qu’il n’est pas conçu pour afficher
ses données en euros (seulement en kilowattheures), ce qui n’est pas de nature
à inciter le consommateur à réduire sa consommation. (D’après le  Dossier d’évaluation de l’expérimentation
Linky
 de juin 2011 de la
Commission de régulation de l’énergie, p. 22, seules 6 % des personnes
interrogées sur un échantillon de 1 500 personnes équipées de Linky en
Indre-et-Loire avaient changé leurs habitudes de consommation). Le système Linky inclut l’ajout dans le logement d’un
« dispositif déporté », écran affichant la consommation en euros et
communiquant par micro-ondes avec le compteur Linky, prévu à l’article 201
alinéa 37 (ex article 60 alinéa 34) de la loi de transition énergétique. Cet
article instaure l’installation d’un « dispositif déporté » chez tous
les bénéficiaires des minima sociaux. Les plus pauvres seront donc aussi les
plus irradiés !La fausse solution du système Linky implique donc à
terme l’installation, dans l’intégralité des foyers, de trois dispositifs
communicants émetteurs de micro-ondes et de radiofréquences : compteur Linky
(article 28 – ex article 7bis), boîtier d’effacement de type Voltalux (non
nommé, mais implicite dans l’article 168 – ex article 46bis) et dispositif
déporté (article 201 – ex article 60), qui s’ajouteront au compteur
individuel de chauffage dans les immeubles à chauffage collectif   et au compteur de gaz communicant
Gazpar (article 28 – ex article 7bis). Ce sont donc au total cinq
émetteurs de micro-ondes/radiofréquences  qui seront ajoutés dans les logements
en application de cette loi. Et quand bien même l’obligation ne figure pas
explicitement dans la rédaction du texte de loi, elle pourrait être introduite
par voie d’ordonnance ou par décret, avec votre signature, Monsieur le
président de la République, et celle de quelques ministres. Vu
l’étrange silence de la presse grand public, qui a été alertée à plusieurs
reprises, la majorité des Français seront mis devant le fait accompli, sans être
informés des raisons pour lesquelles ils doivent refuser le Linky. Ils seront
bernés par les courriers des installateurs indiquant que : « Cette
opération est obligatoire et gratuite ». Certaines personnes ont déjà
reçu  le 11 mai 2015 un tel
courrier pour le remplacement du compteur de gaz par le nouveau compteur
Gazpar, émetteur de micro-ondes, alors même que la loi n’était pas encore
adoptée ! (Société SETELEN Energies à Andrézieux-Bouthéon, 42, agréée par
GrDF). Monsieur Philippe Bodenez, le conseiller technique en
charge des risques technologiques au Cabinet de Madame Royal, qui a reçu deux
heures durant le vendredi 5 juin à partir de 18h30 Madame Annie Lobé, a vu ce
courrier et lui a suggéré de saisir la direction générale de la Répression des
fraudes. En tout état de cause,
le système Linky est une fausse solution virtuellement élégante mais
catastrophique dans la réalité. Elle doit être abandonnée sur-le-champ. Cette fausse solution a été
imaginée par les ingénieurs d’ERDF, filiale à 100 % d’EDF, détenant le monopole
de la distribution d’électricité, et promue par des politiciens  sourds aux alertes et aux informations
qui leur ont été adressées par des centaines de courriels qu’ils ont reçus
chaque jour (mails qui ont également été adressés à l’ensemble des sénateurs)
pendant les mois de juin et juillet 2015.Lors de la séance du 9 juillet 2015,
ils n’ont pas ménagé leurs efforts pour convaincre leurs collègues sénateurs de
rejeter trois amendements visant à rendre le compteur Linky non obligatoire, refusant
y compris cette possibilité pour les personnes électrohypersensibles Le mercredi 15 juillet 2015, après minuit, la
présidente de la séance a fait adopter l’ensemble du texte par scrutin public,
alors que ce scrutin portant adoption de la loi de transition énergétique ne
figurait pas dans l’agenda du Sénat, sur lequel on pouvait lire que la suite de
l’examen était prévue le 16 juillet et éventuellement le 17 juillet ! Seule une poignée de sénateurs étaient
présents à cette heure tardive, le scrutin public a été effectué par
procuration (186 voix pour, 26 voix contre). Une telle pratique est tout à fait
contraire aux usages : le vote des textes les plus importants a habituellement
lieu après la session de questions au Gouvernement du mercredi, au moment où un
grand nombre de sénateurs sont présents dans l’hémicycle. Pour la deuxième et
dernière lecture de la loi de transition énergétique, la majorité des sénateurs
aura donc été mise devant le fait accompli et privée de son droit de vote.. Dans la lettre du 23 juillet 2015, il
vous était demandé de redresser le tir en refusant de promulguer cette loi,
d’interdire le Linky et les autres compteurs communicants, de ne pas promulguer
cette loi ou ne la promulguer qu’après avoir en supprimé les articles 27 (ex article
7), 28 (ex article 7bis), 168 (ex article 46bis) et 201 alinéa 37
(ex article 60 alinéa 34) . Aujourd’hui,
vous seul pouvez, en tant que premier représentant de l’Etat actionnaire,
mettre un terme à ce grand chantier inutile et dangereux   et    sauver la France du
fiasco technique, industriel, financier et sanitaire, inéluctable avec le
système Linky. La Droite au pouvoir jusqu’en 2011 avait parfaitement
compris le risque judiciaire. Elle a préféré attendre une éventuelle
alternance, puis l’a habilement fait endosser par la Gauche, qui a sauté à
pieds joints dans le piège. En
engageant la France dans le déploiement du système Linky en dépit des faits
précédemment énoncés qui ont été portés à votre connaissance, vous vous êtes
rendu passible de condamnations pénales pour mise en danger délibérée d’autrui
(art. 223-1 du Code pénal), pour terrorisme (art. 421-1 et suivants du Code
pénal), voire pour trahison (art. 411-10 du Code pénal) au profit d’entreprises
allemandes   alors
que  l’Allemagne elle-même s’est
bien gardée de s’engager dans ce programme. Ceux qui vous ont fait miroiter
que la France, avec le système Linky, allait « briller lors de la COP
21 » selon l’expression employée le 21 mai 2015 par le député Yves Jégo
lors de la séance publique à l’Assemblée nationale, vous ont tendu un
piège  dont il ne vous reste
que quelques semaines pour sortir.. Pour
toutes les raisons énoncées  ,
je vous demande d' enjoindre à EDF / ERDF, de renoncer sur tout le territoire à
l’implantation des compteurs Linky, Gazpar et de tous les dispositifs
communicants Dans
l’attente de votre réponse par courrier postal et en actes, je vous prie de
bien vouloir recevoir, Monsieur le Président, l’assurance de ma considération
la plus haute.














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