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Arrêt des poursuites judiciaires contre le blogueur Ridha Belkacemi !
comité S.
a lancé une pétition à destination de
Organisations des droits humains
Liberté d’expression en Algérie &colon NON aux poursuites judiciaires contre Ridha Belkacemi &excl
Un jeune blogueur Amazigh (Berbère), président de l’association culturelle « Tamazgha&dashAurès », comparaitra le 20 mars 2017 devant le tribunal de Sériana (Batna) pour « outrage au président de la république » et « atteinte à corps constitué ». Pour avoir dénoncé la politique de marginalisation de l’Etat algérien envers les Aurès, Ridha Belkacemi risque un an de prison ferme et 500 000 DA d’amende.
En Algérie, les atteintes aux libertés individuelles et collectives ne cessent de s’aggraver &colon journalistes, romanciers, blogueurs, intellectuels et militants, tous pacifistes, sont injustement interpellés, harcelés, emprisonnés.
Nous citoyennes et citoyens des Aurès appelons les organisations des droits humains et tout citoyen défenseur de la liberté et de la justice à soutenir ce jeune Aurésien face au despotisme et au terrorisme institutionnel de l’Etat algérien qui entend étouffer toute voix discordante.
"Si la liberté d’expression nous est enlevée alors, muets et silencieux, nous pourrons être conduits à l’abattoir comme des brebis." Georges Washington
Un jeune blogueur Amazigh (Berbère), président de l’association culturelle « Tamazgha&dashAurès », comparaitra le 20 mars 2017 devant le tribunal de Sériana (Batna) pour « outrage au président de la république » et « atteinte à corps constitué ». Pour avoir dénoncé la politique de marginalisation de l’Etat algérien envers les Aurès, Ridha Belkacemi risque un an de prison ferme et 500 000 DA d’amende.
En Algérie, les atteintes aux libertés individuelles et collectives ne cessent de s’aggraver &colon journalistes, romanciers, blogueurs, intellectuels et militants, tous pacifistes, sont injustement interpellés, harcelés, emprisonnés.
Nous citoyennes et citoyens des Aurès appelons les organisations des droits humains et tout citoyen défenseur de la liberté et de la justice à soutenir ce jeune Aurésien face au despotisme et au terrorisme institutionnel de l’Etat algérien qui entend étouffer toute voix discordante.
"Si la liberté d’expression nous est enlevée alors, muets et silencieux, nous pourrons être conduits à l’abattoir comme des brebis." Georges Washington
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