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Les bars sont exclus du soutien aux PME et réclament de l'aide
Jessica V.
a lancé une pétition à destination de
Gouvernement
Malheureusement,
tous les bars au Canada n’ont pas accès à l’aide d’urgence
parce que les canaux de distribution sont
fermés aux entreprises dont plus de 50 % des revenus proviennent de la vente d’alcool
.
«Quand on a entendu la mesure, on a applaudi. Puisque, du jour au lendemain, on a dû fermer sans presque aucun préavis. On a perdu de la bouffe, de la boisson et plusieurs milliers de dollars. Notre inventaire et nos fournisseurs n'ont pas encore été payés. On n’a pas pu se préparer. On était donc content de voir la mesure.»
«C'est comme si les bars étaient des lieux pour le crime organisé. C'est aberrant. Ça fait longtemps que les bars ne blanchissent plus d'argent. Maintenant on a des comptes à rendre au gouvernement, on a des états financiers, un chiffre d'affaire d'un million annuellement, des employés et c'est vraiment dommage de ne pas pouvoir être pris en compte.»
«C'est comme s’ils pensaient qu'on brassait encore du cash . C'est terminé ce temps-là! Aujourd'hui, on a des modules électroniques installés à grandeur du Québec. Chaque fois que je punch une pinte de bière à 7$, elle apparaît chez Revenu Québec et, à la fin du mois, on envoie nos rapports et il faut que ça match. C'est une bonne chose, car c'est comme ça qu'ils ont nettoyé les bars du crime organisé.» il faut que les intervenants de la BDC et que les politiciens qui mettent en place ces mesures d’urgence «enlèvent une fois pour toutes leurs œillères qui les empêchent de bien voir le dessein de nos entreprises». Les bars ne doivent PAS être dans cette liste noire et, comme toutes les autres PME canadiennes, doivent être éligibles aux prêts d'urgence.
«Quand on a entendu la mesure, on a applaudi. Puisque, du jour au lendemain, on a dû fermer sans presque aucun préavis. On a perdu de la bouffe, de la boisson et plusieurs milliers de dollars. Notre inventaire et nos fournisseurs n'ont pas encore été payés. On n’a pas pu se préparer. On était donc content de voir la mesure.»
«C'est comme si les bars étaient des lieux pour le crime organisé. C'est aberrant. Ça fait longtemps que les bars ne blanchissent plus d'argent. Maintenant on a des comptes à rendre au gouvernement, on a des états financiers, un chiffre d'affaire d'un million annuellement, des employés et c'est vraiment dommage de ne pas pouvoir être pris en compte.»
«C'est comme s’ils pensaient qu'on brassait encore du cash . C'est terminé ce temps-là! Aujourd'hui, on a des modules électroniques installés à grandeur du Québec. Chaque fois que je punch une pinte de bière à 7$, elle apparaît chez Revenu Québec et, à la fin du mois, on envoie nos rapports et il faut que ça match. C'est une bonne chose, car c'est comme ça qu'ils ont nettoyé les bars du crime organisé.» il faut que les intervenants de la BDC et que les politiciens qui mettent en place ces mesures d’urgence «enlèvent une fois pour toutes leurs œillères qui les empêchent de bien voir le dessein de nos entreprises». Les bars ne doivent PAS être dans cette liste noire et, comme toutes les autres PME canadiennes, doivent être éligibles aux prêts d'urgence.
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