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Au TGI de Saint Nazaire          Nous appelons au jugement de l'enlèvement des enfants

Au TGI de Saint Nazaire          Nous appelons au jugement de l'enlèvement des enfants

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Cette pétition a été lancée par marc L. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
marc L.
a lancé une pétition à destination de
Au tribunal de grande instance de Saint Nazaire
Bonjour à toutes et à tous,

Je m'appelle Marc Le Rouzic, je suis citoyen français et je suis privé de mes enfants, Noémi 9ans et Maxim 7 ans, à la suite de leur enlèvement avec violence et sous la menace d'une arme à feu sur le territoire français au Pouliguen (Loire-Atlantique), durant mon droit de garde et d’hébergement.

Depuis quatre ans, les auteurs de cet enlèvement musclé, de nationalité Suisse, ne sont toujours pas inquiétés par la justice française.

Je crois en la justice française. C'est un cas urgent, et il est grand temps que justice soit rendue et que je puisse retrouver mes enfants qui me manquent énormément, comme vous devez vous l'imaginer.

Je joins à cette pétition un article de journal du mardi 14 janvier 2014, écrit par le journaliste Philippe RUBION, où mon histoire est parfaitement relatée en détails afin que vous puissiez la comprendre.

J'attends beaucoup de vous tous. Sachez que votre seul soutien compte.

Merci de prendre un instant pour m'aider: faites passer le mot, transmettez-le à tous vos contacts, car votre aide est primordiale dans la réussite de mes démarches administratives et que mon cas mérite d'être entendu.

Merci mille fois,

Amicalement

Marc LE ROUZIC


Signez cette pétition si vous voulez me soutenir moralement dans mes démarches administratives auprès de la justice française.





Article du Journal Courrier de l'ouest, mardi 14 janvier 2014
Angers - Un quatrième Noël sans ses enfants
Marc Le Rouzic, de Bouchemaine, n'a pas vu ses deux enfants depuis août 2010, quand un commando envoyé par son ex-femme les lui a retirés de force.

Philippe RUBION
philippe.rubion@courrier-ouest.com

Il vit un cauchemar éveillé depuis le samedi 21 août 2010. Un mauvais thriller qui n'a rien d'une fiction pour Marc Le Rouzic. Originaire de Bouchemaine, ce marchand de biens, aujourd'hui âgé de presque 36 ans, est alors dans sa maison de famille au Pouliguen (Loire-Atlantique), et se prépare à aller à la plage avec ses deux enfants, Noémi, 6 ans à peine et Maxim, 4 ans. Il doit les reconduire le lendemain, dimanche 22 août 2010, en Suisse, chez leur mère, dont il est séparé.

Elle organise le rapt musclé de ses deux enfants

Il installe les deux petits dans leurs sièges autos. Un monospace surgit à vive allure. Trois hommes en descendent et le menacent. « J'ai vu une arme. J'ai entendu deux coups de feu. Mon frère aussi », assure Marc Le Rouzic. « Des voisins ont vu ces gens ramasser des choses par terre. Peut-être des douilles : Il condamne à distance la fermeture des portières de sa voiture. « Ils ont tenté de me frapper. Je me suis éloigné ». Les trois gros bras parviennent à extirper les deux petits de l'habitacle par le hayon resté déverrouillé et les embarquent dans leur véhicule. Une course-poursuite s'engage, avec les deux frères qui prennent en chasse le bolide. La police est prévenue et parvient à stopper le monospace. À son bord se trouve Rachel de Brot, l'ex-femme de Marc Le Rouzic, avec son frère, son nouveau mari et un ami.

« Il avait été convenu qu'il ramène les enfants plus tôt, le vendredi soir 20 août à Zurich, pour qu'ils soient à la maison le week-end avant de reprendre l'école », nous explique, par téléphone depuis la Suisse, la mère des enfants. Elle conteste la violence utilisée par son entourage pour reprendre ses enfants, et nie l'existence des coups de feu. «Il a Inventé ça pour que la police vienne ». Les policiers n'ont retrouvé ni arme, ni douilles. Au commissariat de La Baule, où les forces de l'ordre ont entendu sur le champ les différents protagonistes, c'est la mère qui a eu gain de cause en montrant le document de la justice suisse qui lui accorde la garde exclusive des enfants.

Marc et Rachel ont vécu huit ans ensemble dans le canton de Zurich. Ils s'étaient mariés en 2002. Marc a travaillé à l'aéroport, avant de devenir homme au foyer. Son épouse est enseignante en allemand et en mathématiques au collège. « Sa femme lui faisait un emploi du temps de ce qu'il avait à faire à la maison. Je n'avais jamais vu ça », témoigne Me Laurence Charvoz, qui a défendu Marc Le Rouzlc par le passé. • Il semble qu'il n'ait pas démérité en tant que père. Il y a manifestement un refus maternel de permettre au père de voir ses enfants », note l'avocate angevine. « J'avais le droit de voir mes enfants en Suisse, pendant deux heures, dans un lieu neutre », dit Marc. Une association devait servir d'Intermédiaire. Rachel précise que son ex-mari ne peut plus voir les enfants depuis l'été dernier, « parce qu'il n'a Jamais utilisé la possibilité qui lui était proposée ». II continue à verser ses pensions alimentaires. » Je suis Irréprochable. Elle fait tout pour me faire passer pour un mauvais père ».

Marc Le Rouzic a déposé plainte pour soustraction d'enfant mineur, enlèvement, séquestration, détention arbitraire, violence et menace d'une arme, il y a trois ans et demi. « J'en suis à plus de 40 000 € de frais d'avocats: Il trouve que la justice est bien lente. Voilà déjà le quatrième Noël qu'il passe sans ses enfants. Il espère toujours qu’on lui permettra de les revoir un jour. « Elle a embrigadé mes enfants dans des thérapies déviantes, comme la thérapie craniosacrale. Elle a été happée par des dérives sectaires ». Trop d'éléments troublants se sont accumulés selon Marc Le Rouzlc, qui a enquêté lui-même et est aujourd'hui persuadé que son ex-épouse s'est laissée entraîner dans une secte. Rachel de Brot éclate de rire quand on lui en parle : « Non, je ne suis pas dans un mouvement sectaire, ni chez les méthodistes. Je suis protestante et mes racines sont juives ». Elle dit s'être séparée « pour me protéger, moi et les enfants ». Elle parle du « changement de caractère » de son ex-mari, « qui avait besoin d'aide mais qui refusait toute thérapie ». Un soir de 2008, une mauvaise surprise attend Marc au retour du travail. « J’ai retrouvé ma maison entièrement vide. Ma femme et mes enfants n'étalent plus là. Tout avait été déménagé ». Il y a aussi ce divorce organisé en son absence et sans son consentement. « On a bafoué tous mes droits ». Des intimidations. Des documents disparus ou détériorés à l'arrivée au courrier chez ses avocats. « Et tous ces mensonges », qu'il ne supporte plus.

Elle va même changer leur nom

Le kidnapping de ses enfants a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. « Après l'enlèvement, la police a suspendu mon droit de visite et d'hébergement à cause du traumatisme vécu par les enfants quand Ils ont été arrêtés par la police ». Aujourd'hui, Marc pense que Rachel veut l'effacer complètement de leur vie. Elle lui a dit qu'elle souhaitait changer le nom des enfants, en leur faisant prendre celui de son nouveau conjoint, à consonance plus germanique. La terminaison bretonne de « Le Rouzic » sonnerait trop yougoslave à son goût. À l'entendre, ils auraient trop de mal à trouver du travail plus tard en Suisse. Interrogée à ce sujet, la maman remariée répond : « Non, Ils portent toujours le nom de leur père ». Elle reconnaît toutefois que sa fille, âgée aujourd'hui de 9 ans, mentionne désormais le nouveau nom de sa mère « sur son carnet de ski. Maxim, 7 ans, qui n'a vécu avec son père que pendant deux ans, ne parlerait qu'allemand et ne comprendrait pas le français selon sa mère. Elle dit toutefois laisser en libre accès à ses enfants les albums photos où apparaît leur père biologique.

Pas de garde partagée

Un juge d'instruction de Saint-Nazaire suit toujours le dossier. « Cette affaire est en cours », confirme Me Marion Lissot, à Paris, avocate mandatée, parmi d'autres, par Marc Le Rouzlc. « On fait des demandes d'actes. On essaie d'apporter des éléments pour ouvrir les yeux du juge d'Instruction. On fait notre possible. Je comprends son Impatience ».

Sur la question du divorce, la cour d'appel d'Angers a transmis le dossier à la justice suisse. « Les Juridictions françaises se sont déclarées incompétentes », confirme Me Christian Couvrat, avocat parisien de l'ex-épouse. Marc Le Rouzlc continue à contester le divorce prononcé en Suisse, pays où l'autorité parentale n'est pas partagée. «Je voulais divorcer en France pour obtenir une garde partagée ».

Source : Le Courrier de l’Ouest, 14 janvier 2014


Publiée (Mis à jour )