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Victoire
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Francois Culot Bourgmestre de la ville de Virton...Non au projet d'élevage de visons dans votre ville

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Victoire
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50 soutiens

Carine T.
a lancé une pétition à destination de
Francois Culot Bourgmestre de la ville de virton (Belgique)
10.810...Signatures contre ce projet de la honte...Merci à tous(tes)

Toutes ces fermes de «machines à fourrure» détruisent cruellement les animaux, mais aussi la Nature. Elles rejettent dans l'environnement des tonnes d'excréments et de carcasses contaminées qui polluent l'air, les sols et l'eau.


Là où ils sont gardés à plusieurs dans la même cage, des batailles éclatent facilement et on observe même, assez fréquemment, des cas de cannibalisme.

Les reproducteurs gardés pour l'accouplement sont choisis pour les caractéristiques qui obéissent aux caprices de la mode - teinte, texture etc. On en vient ainsi à provoquer de graves défauts génétiques. Chez le vison particulièrement, on retrouve, selon l'espèce, surdité, cécité, malformations douloureuses des organes sexuels, désordres neuromusculaires douloureux, paralysie postérieure, anémie.

Les conditions, d'humidité ou de température dans lesquelles les otages croupissent les exposent à diverses maladies, comme la pneumonie et les infections urinaires. L'hiver, on note des engelures; l'été des défaillances par temps de chaleur extrême. Aux États-Unis en une seule année les décès de visons pas la chaleur se sont élevés à 450 000..
La mise à mort
L'essentiel étant toujours de préserver la fourrure et des maximiser le profit, les méthodes utilisées n'ont pas un caractère prioritairement HUMANITAIRE. Pour tuer les animaux, plusieurs méthodes sont utilisées: on leur brise le nerf cervical, on les empoissonne, on les asphyxie au gaz carbonique etc.

L'appareil de mise à mort se compose d'un bâton métallique introduit dans l'anus et d'une pince posée sur le museau de l'animal. Le courant se fait à l'aide d'un commutateur.

D'autres seront placés dans une chambre à gaz, électrocutés ou, méthode fort répandue, ils se feront casser le cou au moyen d'une tenaille spécialement conçue à cet effet, qui fonctionne à la manière d'un casse-noix. Un manche est inséré dans la bouche, l'autre appuyé à la base du crâne, et on presse pour briser les vertèbres cervicales. Certains éleveurs procèdent par injection intra-sternale de sulfate de nicotine ou par empoisonnement à la strychinie, deux méthodes qui occasionnent des souffrances atroces.Le renard est généralement tué par électrocution. On le sort de sa cage à l'aide d'un étau; une électrode est enfoncée dans le rectum alors que l'autre, émergeant d'une pince en forme de muselière, est insérée dans la gueule. Le choc traverse le cerveau, puis descend vers le corps. Cette méthodes n'assure pas une mort instantanée, mais elle tue par fibrillation cardiaque, laquelle peut être précédée d'une douleur intense...
STOP ..A CES MASSACRES...!!
Publiée (Mis à jour )