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Haute Autorité de Santé, ordre des médecins, ordre des gynécologues, ordre : Essure, Ligature, Vasectomie... information et reformulation MAINTENANT!

Haute Autorité de Santé, ordre des médecins, ordre des gynécologues, ordre : Essure, Ligature, Vasectomie... information et reformulation MAINTENANT!

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Cette pétition a été lancée par union C. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
union C.
a lancé une pétition à destination de
Haute Autorité de Santé, ordre des médecins, ordre des gynécologues, ordre
La pression sociale qui s’exerce sur les femmes pour les inciter à avoir des enfants est d’une grande violence. Et certains médecins en sont les premiers agents. Lorsqu’ils refusent une contraception sous des prétextes non scientifiques, comme lorsqu’ils dirigent hâtivement des femmes inquiètes de ne pas être enceintes vers des explorations lourdes et douloureuses ou des méthodes de procréation assistée... très lucratives pour ceux qui les pratiquent."
(Martin Winckler)

Dans toutes les brochures explicatives, il n'est jamais énoncé clairement que les personnes sans enfants peuvent obtenir une stérilisation volontaire. NOUS DEMANDONS L'APPLICATION DE LA LOI DANS LES FAITS POUR CHANGER!!

"

Mais pour beaucoup de médecins, les patients cessent d’être des adultes quand ils entrent dans leur cabinet. Même lorsqu’il n’est pas malade, le désir de choisir d’un patient est, aux yeux de trop de professionnels de la médecine, absolument immature à partir du moment où ce désir n’est pas conforme à l’opinion personnelle du praticien...

Adhérer (de près ou de loin) à cette vision des choses, c’est oublier d’abord que les médecins ne sont pas, a priori, des personnalités plus matures que les autres ; ensuite qu’historiquement l’idéologie du corps médical français à l’égard de la sexualité (entre autres) a toujours été profondément réactionnaire et enfin que la fonction d’un médecin ne consiste pas à juger des aptitudes des patients, mais à les accompagner dans leurs décisions face à une maladie ou à un choix de vie. Ce n’est pas moi qui le dit, mais le Code de la Santé Publique - qui, destiné à protéger les patients, s’applique d’abord et avant tout aux professionnels de santé. Il en va de même pour la stérilisation volontaire, autorisée par la loi depuis 2001 pour toute personne majeure.(...)En tout état de cause, aujourd’hui, la loi énonce clairement que si une personne a décidé de ne pas/plus avoir d’enfant, nul n’est en droit de lui contester ce droit.Dans les faits, la stérilisation volontaire étant laissée aux mains des médecins et des chirurgiens, leur refus de procéder à ce type d’intervention est un obstacle sérieux à la liberté individuelle.Encore une fois, il n’est pas pensable d’obliger des chirurgiens à procéder à des opérations auxquelles ils sont idéologiquement opposés. Mais on peut en revanche exiger d’eux qu’ils n’empêchent pas les patients d’y accéder. Dans le cadre de leur exercice, en donnant une information loyale et non terrorisante ; à l’hôpital, en permettant aux médecins qui désirent acquérir une formation à ces techniques de le faire.En effet, les facultés de médecine française n’incluent pas les techniques de stérilisation à la formation des médecins, alors que celles-ci devraient faire partie de l’enseignement, au même risque que la contraception et l’IVG. C’est regrettable. Il ne s’agit pas d’obliger les médecins à pratiquer des gestes contre leur gré, mais de leur donner au moins l’information objective nécessaire pour qu’ils guident les patients qui le désirent vers des techniques autorisées par la loi et auxquelles ils sont en droit d’accéder ! ! !" (Martin Winckler)


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