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INTERPOL, cour suprème d'alger: Mandat  d'arrêt à l'encontre de Saïd Bouteflika

INTERPOL, cour suprème d'alger: Mandat d'arrêt à l'encontre de Saïd Bouteflika

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Cette pétition a été lancée par Ahmed B. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Ahmed B.
a lancé une pétition à destination de
La cour suprème d'alger, Interpol
La hantise de Saïd Bouteflika est de se faire rattraper, une fois le mandat présidentiel de son frère arrivé à terme, par les scandaleuses affaires de corruption auxquelles il est mêlé. De Sonatrach I et II à celle de l’autoroute Est-Ouest en passant par celle du BRCI, de Khalifa et de tant d’autres, le nom de Saïd Bouteflika vole d’une affaire à une autre. Sa fortune dans les banques suisses, selon un financier genevois, dépasserait le milliard de francs suisses.
Ceci n’est que la partie visible de l’iceberg. L’essentiel de sa fortune est placé dans les paradis fiscaux.
L’impunité de Chakib Khelil, l’ancien ministre de l’Energie et des Mines, qui a failli vendre les puits algériens de pétrole n’eût été une énergique intervention de l’ex-ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, trouve son explication dans l’implication de Saïd Bouteflika dans cette scandaleuse affaire de corruption qui ne semble pas intéresser la justice algérienne contrairement aux instances judiciaires italiennes qui se penchent sérieusement sur la partie du dossier qui les concerne.
D’ailleurs, en s’opposant énergiquement, au cours d’un Conseil des ministres, au projet de loi qui légalisait la vente du pétrole algérien aux sociétés américaines et qui tendait à privatiser la SONATRACH, Yazid Zerhouni s’est attiré les foudres du frère cadet du président de la République. Il fut tout simplement éjecté du gouvernement. Personne n’osa demander ce qu’il était advenu de celui qu’on présentait comme l’un des hommes forts du cercle présidentiel.
Pour préserver ses intérêts vitaux, Saïd Bouteflika n’hésite pas à frapper les plus proches du président comme il l’a fait en limogeant en un quart de tour l’ambassadeur d’Algérie à Paris, Missoum Sbih, juste parce qu’il n’avait pas fait courbette devant le prince.

Le recent limogeage du patron des services secrets et tous les remaniements effectués pour fragiliser l'appareil sécuritaire et l'armée s'inscrivent dans la même logique, et exposent le pays à tous les dangers.

Il n’est plus possible qu’un homme aussi ignoble puisse jouer de l'avenir de tout un peuple.

Il est temps de faire pression, que justice soit faite.
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