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Le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau: Le respect des lois et des droits fondamentaux en Santé

Le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau: Le respect des lois et des droits fondamentaux en Santé

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Cette pétition a été lancée par Guillaume A. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Guillaume A.
a lancé une pétition à destination de
Le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau
Le Canada est signataire des traités internationaux sur la pratique de la médecine dite "acceptable" et s'est engagé par sa signature à ne pas user de pratiques médicales qualifiées de torture. Il siège à l'ONU, et s'est engagé à respecter les Droits de l'homme et à en faire la promotion. Il est donc problématique que ces droits de respect et de dignité humaines ne soient pas appliqués sur son propre territoire.

Je demande au Premier ministre du Canada, M. Justin Trudeau,
Je demande aux Premiers ministres du Québec et des autres provinces,
Je demande aux ministres de la Santé du Québec et des autres provinces,
Je demande aux ministres de la Justice du Québec et des autres provinces,
Je demande à la Cour suprême du Canada,

Parce que la Santé est du domaine des compétences provinciales, mais que le problème soulevé est présent dans plusieurs provinces.

Je demande que soient respectées les lois encadrant la pratique médicale "dite acceptable" telle qu'établie par les lois internationales, nationales et provinciales dans le milieu des soins en psychologie au Québec et au Canada. Je demande que soient respectés la Déclaration universelle des droits de l'homme, le Code de Nuremberg, la Déclaration d'Helsinki pour éviter la répétition des gestes criminels de la médecine et de la psychologie de guerre associée à la torture et considérée comme des crimes contre l'humanité.

Je demande que soit respecté la Charte des droits et libertés de la personne, les droits fondamentaux de chacun dans les services de Santé, que soient respectées les lois entourant les obligations du médecin tel que défini par le Collège des médecins du Québec, que soit respecté le Code d'éthique des psychologues tel qu'établi par l'Ordre des psychologues du Québec, dans les services offerts à la population du Québec, et qu'il en soit de même dans toutes les provinces canadiennes.

Je demande une enquête publique sur les pratiques illégales dans le milieu des soins de Santé du Québec, que l'Ordre des psychologues du Québec et le Syndic de l'Ordre soient dénoncés pour négligences et manquement à leurs devoirs de protection du public devant des pratiques illégales connues et dénoncées, ayant causé la mort par suicide de plusieurs personnes qui y ont été exposées.

Je demande une réévaluation des compétences et du droit de pratique des thérapeutes et psychologues qui usent de méthodes et protocoles illégaux ayant causé la mort de leurs clients.

Je demande que les statistiques sur le suicide au Québec et au Canada inclues les causes, diagnostiques, et les démarches en thérapie faites par les personnes suicidées, pour que le portrait de la situation puisse soulever les problèmes reliés aux pratiques du milieu d'intervention de manière à en corriger les erreurs et en éviter la répétition.

Je demande que soient instaurées des mesures de contrôle plus sévères pour éviter la répétition des gestes criminels de ce milieu qui entache son histoire.

Je demande que soit inclus dans la formation en psychologie le passé criminel de la pratique en psychologie visée par ce document et qu'on arrête d'y enseigner à titre de sciences valables des techniques inhumaines.

Je demande que la Société canadienne de psychologie retire le prix honorifique Donald Hebb pour ses recherches criminelles sur la torture, parce que la torture n'est pas une science acceptable et ne doit pas être reconnue comme telle.

Je demande que soient implantés des mécanismes de plaintes neutres et indépendants du milieu, parce qu'il n'est pas crédible qu'un service lié à la psychologie enquête lui-même sur ses propres fautes pour juger de la crédibilité des plaintes portées contre lui.

La situation actuelle dénoncée :

Certains milieux de la psychologie se soustraient aux lois encadrant leur pratique en refusant d'informer systématiquement leurs clients des méthodes, techniques et procédures dans les services d'aide qu'ils offrent. Cette situation fait que le consentement du client à la démarche est impossible, car on ne peut consentir à une chose quand on est maintenu dans l'ignorance.

Il est pourtant de l'obligation légale du médecin traitant d'informer le client de sa proposition d'intervention et d'obtenir le consentement du client dans les traitements qu'il se propose de faire. C'est la base de ce qui définit l'acte médical dit humainement acceptable et qui détermine la limite entre le geste aidant et l'agression ou la torture.

Cette situation génère des tensions problématiques qui invalident souvent la notion aidante de la démarche, et cause des préjudices graves à une clientèle fragilisée. Ce milieu agit illégalement et dans le plus grand mépris de sa clientèle qu'elle considère difficile du fait des conflits majeurs qui découlent du non-respect des droits, de la Loi et des motivations des clients dans leur démarche.

Le non-respect des lois et des droits des clients sont des causes majeures dans la propagation des préjugés des spécialistes envers leurs clients, et le milieu se justifie de ses actions agressives devant la résistance et l'opposition de ses clients à cause de ce manque de communication.

Les protocoles établis mis en place dans ces milieux déshumanisent les clients. La haine des intervenants de ce milieu sensé aider est normalisée comme une chose inévitable et acceptable selon la documentation qui sert de référence scientifique à ce milieu. Un milieu haineux et hostile n'est pas un milieu aidant, et les conséquences sont sérieuses. Devant la discrimination faite à leur égard et les agressions du milieu qui se montre intolérant devant la différence, les clients finissent pas se tuer.

Le milieu use de méthodes par l'exposition qui consistent à reproduire la situation traumatique du client pour le désensibiliser. Ce faisant, ils reproduisent des gestes criminels ayant causé des torts irréparables dans la vie de leurs clients, et ils agissent ainsi sans avoir informé le client de cette pratique et sans se soucier de son consentement à la chose.

On n'aide pas une victime de viol en la violant à répétition pour l'habituer à la chose... Cette situation place le client en situation de victimisation secondaire hautement préjudiciable, et son opposition ou ses objections ne sont pas considérées. La démarche du milieu devient une agression, et plusieurs sont ainsi poussés au suicide de manière méthodique et protocolaire.

Ces milieux appliquent des thérapies comportementales sans suivre les règles et lois qui protègent leurs clients, sans accorder de valeur à l'historique de vie des clients, sans accorder de valeur à leurs propos, sans chercher à s'entendre avec eux sur des objectifs à atteindre, et posent des diagnostics sur la base de divergences d'opinions politiques, religieuses, de choix de vie et de valeurs personnelles. C'est propre à la définition de la discrimination.

Les gens ont le droit d'être informés. Les proches des victimes et défunts de ces pratiques illégales ont le droit de savoir pourquoi leurs proches qui consultaient pour l'aide sont décédés. Les gens qui cherchent de l'aide pour résoudre leurs problèmes de vie ont le droit d'être informés et de choisir si l'offre de service proposé est acceptable pour eux, et ils ont aussi le droit de la refuser si l'offre ne répond pas à leurs besoins et ne vise pas le respect des objectifs qui motivent leur démarche.

Au Québec, il y a en moyenne 1300 suicides chaque année et plus de 8000 tentatives. Beaucoup des gens qui posent ces gestes ont été exposés à ces pratiques. Aider ce n'est pas ça, si vous aimer vos proches qui éprouvent des difficultés, qui devant une vie amputée par la violence qu'ils ont endurée se donne la peine de consulter pour de l'aide, je vous demande de mettre fin à ce genre de pratiques pour les garder vivants et faire que les soins soient adaptés et respectueux de leurs droits et des lois.

Choisir d'être aveugle devant la détresse est une chose, y participer constitue un crime inhumain.

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