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Non au projet géant d'hypermarché à la périphérie de Charleville-Mézières

Non au projet géant d'hypermarché à la périphérie de Charleville-Mézières

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Cette pétition a été lancée par ChristopheDumont .. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
ChristopheDumont ..
a lancé une pétition à destination de
M. le maire de Charleville-Mézières M. le président d'Ardenne Métropole
À ÉCOUTER, 3 minutes éclairantes &excl
https&colon//t.co/kjXPWF3vYp&questamp&equals1

Citoyens, ensemble, disons non à la ville moche


Un jour on regrettera Vierzon, Brive la Gaillarde... Charleville‐Mézières

C'est par ces mots qu'un journaliste du Monde décrit, dans un livre publié récemment comment la France a tué ses villes , principalement en laissant proliférer en périphérie des centres commerciaux.

Le sujet de la survie des villes moyennes s'invite enfin dans le débat politique ; le New York Times nous alerte lui aussi sur la mort lente des centres‐villes. Le déclin d'Albi est à l'image de centaines d'autres villes en France écrit le quotidien américain qui constate, effaré, la lente disparition de nos villes où il fait bon vivre, par le développement anarchique, à l'américaine, de trop nombreux centres commerciaux. C'est dans ce contexte, alors que près de 15 &percnt des vitrines du centre‐ville de Charleville‐Mézières sont vides, que 8 &percnt des logements sont vacants, que surgit le projet de l'éventuelle implantation d'une grande surface de distribution sur une zone de 12 hectares à Warcq qui accroîtrait encore la désaffection pour le commerce de notre centre‐ville.

La
galerie marchande suivra nous disent les spécialistes, qui décrivent la stratégie « du pied dans la porte ».

Pourtant, dans un rapport récent, l'inspection générale des finances elle‐même considérait que le mouvement de dévitalisation commerciale des centres‐villes s'aggravait dans les villes moyennes et que l'un des facteurs majeurs de cette dégradation était le déséquilibre entre les concurrences, principalement avec la périphérie.

On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas.

Nous, citoyens, pouvons dire non à la ville moche qui conduit à la ville morte, non à cette ville moche à la périphérie faite de rocades, de hangars commerciaux et de panneaux publicitaires, non au syndrome des vitrines vides au centre‐ville, non à la ville « DONUT », prospère autour et vide en son centre.
Cette mort lente qu'on nous promet n'est pas inéluctable, nous pouvons agir en demandant aux délégués de notre ville et de notre agglomération à la commission d'aménagement commercial de dire non à l'ouverture d'un nouveau centre commercial qui contribuerait à tuer notre centre‐ville.

Je vous invite à le faire en signant cette pétition en ligne.

Elle sera transmise Boris Ravignon, président d’Ardenne Metropole et maire de Charleville‐Mézières. Il désignera prochainement ses représentants à la Commission Départemental d’Aménagement Commercial (CDAC) qui se réunira fin mai 2017.




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