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Levée de l'avis de voyage et rétablissement des lignes (NECKERMAN-JETAIR-THOMAS COOK) vers la Tunisie

Levée de l'avis de voyage et rétablissement des lignes (NECKERMAN-JETAIR-THOMAS COOK) vers la Tunisie

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Cette pétition a été lancée par Djemail A. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Djemail A.
a lancé une pétition à destination de
Monsieur Reynders, Ministre des affaires étrangères.Tours opérateurs belges, Monsieur Reynders, Ministre des affaires étrangères.Tours opérateurs belges.Ter attentie van Mijnheer Reynders, Minister van Buitenlandse Zaken en ter attentie van de Belgische Touroperators
En tant que citoyens et citoyennes belges, nous vous demandons de supprimer dans les plus brefs délais, la décision que vous avez prise, en juin 2015, afin d'interdire toute navigation aérienne à destination de la Tunisie.

Suite à un attentat survenu à Sousse, en juin 2015, nous comprenons votre inquiétude concernant la sécurité de tous les citoyens et votre désir de les protéger.Cependant, nous estimons que cette sanction est trop radicale.Informer la population face à la menace terroriste qui règne actuellement dans le monde entier est votre devoir.
En revanche, interdire tout déplacement vers la Tunisie et ne pas laisser le choix au citoyen belge est une décision extrême.

La Tunisie est un "pays ami " comme on le dit souvent dans les médias avec lequel la Belgique entretient des relations privilégiées, des accords socio-économiques ainsi que des partenariats depuis des décennies et est réputée pour sa tolérance, son ouverture d'esprit et son hospitalité. La Tunisie représente 3000 ans d'histoire et de brassage de civilisations.Onze millions de Tunisiens sont également les victimes de ce fléau. Ils sont choqués par l'horreur et le chaos qui les touchent. Epuisés, ils manifestent dans les rues depuis cinq ans pour exprimer leur colère face à une situation qui va à l'encontre de leur idéologie et crient haut et fort " NON" au terrorisme.Notre volonté, notre devoir, est de rester debout aux côtés de ces derniers!

Nous entrons bel et bien dans une ère nouvelle. Les attentats sont réels et peuvent se répéter en Tunisie et partout ailleurs, en Orient et en Occident comme cela a été le cas ces derniers mois.

Condamner la Tunisie si durement, est-ce la solution?
Allons-nous cesser de voyager?
Allons-nous nous mettre à genoux face à cette barbarie?Ne serait-ce pas plus efficace de s'allier, de combattre et de coopérer avec les autorités tunisiennes afin d'éradiquer définitivement ce désastre ? Plutôt que de mettre la Tunisie au même niveau d'alerte que les pays en guerre et de semer la panique au sein même de la population. Cette nation risque de s'effondrer économiquement avec toutes les conséquences catastrophiques qui en découleront.Etudier d'autres approches en vue d'éradiquer les cellules dormantes, ici et là-bas. Les failles sécuritaires existent en Tunisie comme cela a été pointé du doigt. N'existent-elles pas dans tous les pays touchés par ce fléau!

Ne faudrait-il pas encourager les citoyens du monde à se lever ENSEMBLE et à ne pas céder à la panique, si l'on ne veut pas laisser la gangrène s'installer.

Des gestes de solidarité forts doivent être posés.

Tous ensemble, nous insistons auprès de vous, Monsieur le Ministre, à revenir sur votre décision, à rétablir le tourisme en Tunisie et à analyser à nouveau la situation heure par heure, jour après jour, comme vous l'aviez promis en juin dernier afin que les tours opérateurs belges soient dans la possibilité de reprendre les vols vers ce pays.

Les voyageurs entre Tunis et Bruxelles et les milliers d'expats vivant sur place doivent avoir le droit et la facilité de se rendre en Tunisie ou de revenir dans leur pays d'origine sans être affectés par des prix exorbitants, des horaires restreints et par l'impossibilité de la compagnie nationale tunisienne d'ajouter des vols supplémentaires, encore et encore, et de répondre à la forte demande comme c'est le cas aujourd'hui.

Au risque de nous répéter, le citoyen belge a le droit de décider si OUI ou NON, il veut se rendre en Tunisie pour les vacances ou pour un voyage professionnel. La liberté de faire des choix est une valeur fondamentale de la démocratie.

Amel Djemail, 34 ans, Conseillère politique du secteur sport et de l'égalité des genres, fédération syndicale européenne des secteurs des services et des compétences-Chantal Mouyard, 65 ans, Pensionnée-Sylviane Verriest, 49 ans, Professeur en sciences et agrégée de l'Université Catholique de Louvain.

As Belgian citizens, we ask you to reconsider and revoke as soon as possible the decision taken in June 2015, to ban and restrict air traffic to Tunisia.

Following the attack in Sousse in June 2015, we deeply understand the concerns and the desire to protect the safety of all citizens. However, we believe this penalty is too extreme.Informing the public and raising awareness on the terrorist threat prevailing in the whole world is your duty. Nevertheless, prohibiting any travels to Tunisia, leaving therefore Belgian citizens without any choice, is instead an extreme decision.

Tunisia has often been described in the media, as a "friendly country" with which Belgium for decades has had special relationships in terms of socio-economic agreements and partnerships; it is renowned for its tolerance, open-mindedness and hospitality. Tunisia represents 3000 years of history and a melting pot of civilizations.Eleven million Tunisians are now victims of this scourge. They are shocked by the horror and chaos affecting them. For the last five years they have been tirelessly demonstrating in the streets to express their anger for a situation that goes against their ideology and to shout out loudly "NO" to terrorism.

Our will and our duty is to standby their side!We are indeed entering a new era. The attacks are real and can be repeated anytime in Tunisia as well as anywhere else in the East and the West.

Is condemning Tunisia so harshly the right solution? Are we all going to stop travelling? Are we going to remain powerless in front of this violence and barbarism? Wouldn't it be more efficient instead to ally, fight and cooperate with the Tunisian authorities in order to eradicate this disaster, rather than putting Tunisia in the same alert level as other countries at war, and spreading panic and fear within the population? This nation would risk collapsing economically and disastrous consequences would follow.Shouldn’t we establish alternative approaches in order to eradicate the different sleeping cells?

It has been pointed out that security flaws in Tunisia do exist, but do they not exist in all countries affected by this plague? Shouldn’t we encourage therefore all citizens in the world to stand up TOGETHER and not give in to prevent this to take over?Strong actions of solidarity must be taken.

Together, we urge you, Minister, to reconsider your decision, to restore tourism in Tunisia and to analyze the situation again, day by day, hour by hour, as you had previously promised in June last year in order to allow the Belgian tour operators to restore and reschedule flights.

The many travellers between Tunisia and Brussels as well as the thousands of expats based there, must have the right and the choice to travel to Tunisia or to return to their country of origin without being affected by exuberantly high prices, restricted hours and by the inability of the Tunisian national air company to meet the strong demand by adding extra flights, as it seems to be the case today.

The Belgian citizens have the right to decide whether they DO or DON’T want to travel to Tunisia either for vacation or business.The freedom of choice is a fundamental value of democracy.

Amel Djemail, 34 years, Policy Advisor for Sport/Gender Equality, European Trade Union Federation for Services and communication-Chantal Mouyard, 65 years , Pensioner-Sylviane Verriest, Aggregate Professor of Science, Catholic University of Louvain

Belgische burger zijnde, vragen wij U beleefd om asap op uw beslissing ivm uw verbod op alle vluchten heen en terug van Tunesië van juni jongstleden terug te komen
.We begrijpen uw verontrusting ivm de veiligheid voor onze burgers en uw verlangen om hen optimaal te beschermen ten gevolge van een aanslag in Sousse juni 2015 .Niet tegen staande,veronderstellen we dat deze sanctie een beetje radicaal is.Het is inderdaad uw taak om de bevolking te informeren tegen terroristische daden in de wereld . Maar om de Belgen te verbieden of hen zelfs de keuze te laten om naar Tunesië af te reizen een beetje drastisch is.Zoals reeds veel vermeld in de media is Tunesië een bondgenoot. Op sociaal en economisch vlak onderhoud België goede akkoorden.Tunesië heeft een goede reputatie, zijn open-minded, kindvriendelijk en een gastvrij land. Tunesië vertegenwoordigd 3000 jaren geschiedenis.11 miljoen Tunesiërs zijn door deze aanslag het slachtoffer. Ze zijn geschokt door de horror en chaos dat het zaait in hun land. Ze zijn moegestreden. Reeds 5 jaar strijden ze in de straten. Ze schreeuwen hun woede uit tegen een situatie die indruist tegen hun idealen. Ze roepen luidkeels " NEEN" tegen terrorisme.Het is onze taak om naast hen te staan.Inderdaad, we zijn beland in een nieuw tijdperk waarin aanslagen en geweld de realiteit zijn. Deze kunnen zich voordoen in Tunesië als in heel de wereld, in het Oosten als in het Westen zoals duidelijk vermeld op de site van Buitenlandse Zaken.Tunesië veroordelen is hard! En is dat dan de oplossing?
Gaan we hierdoor dan stoppen met reizen?
Geven wij toe aan deze barbaren?Is het niet beter om te vechten tegen dit onrecht,samen met de Tunesische Overheid, hand in hand. Om zo voor eens en voor altijd dit gevaar uit de wereld te helpen. Ipv hen te beschouwen als elk ander land in oorlog. En paniek te zaaien onder de bevolking.Deze natie dreigt er economisch aan onder te gaan,met alle gevolgen vandien.Is het dan niet beter om naar oplossingen te zoeken en de slapende cellen hier en daar aan te pakken.Met de vingers wijzen naar gaten in het veiligheidsbeleid/systeem in Tunesië is gemakkelijk. Maar bestaat deze niet overal. Is het niet beter om de bevolking aan te moedigen, om allen samen op te staan. En om niet toe te geven aan paniek als we niet willen dat de gangreen zich nestelt.Gebaren van solidariteit moeten aangemoedigd worden.Samen dringen we aan, Mijnheer de Minister, om op uw beslissing terug te komen. Zodat het toerisme in Tunesië terug op zijn plooi kan vallen. Uur per uur alles analyseren, dag per dag zoals u beloofd had. Zodat de Belgische Touroperators hun vluchten opnieuw kunnen hervatten.De reizigers tussen Tunesië en België, de duizenden die hier en daar verblijven moeten het recht en de mogelijkheid hebben om zelf te beslissen zonder hiervoor overdreven prijzen te moeten betalen of om op onmogelijke uren of plaatsen te moeten vertrekken. De onmogelijkheid van Tunisair om extra vluchten in te schakelen om aan de vraag van de reizigers te kunnen voldoen.Met het risico dat we in herhaling vallen, de Belgische burgers moeten het recht hebben om dan al wel of niet zelf te kunnen beslissen of ze voor hun werk of op vakantie willen gaan naar Tunesië.De vrijheid om zelf te beslissen is één van de grondwetten van een democratie.
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