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Scandale écologique et économique en Normandie, la face cachée du recyclage des déchets...
Scandale D.
a lancé une pétition à destination de
Mr. Winckler, Sous-Préfet de Dieppe, Mme Fabienne Buccio Préfète de Normand
Une décharge énorme pollue la Vallée du Dun, en Normandie. Elle est située au dessus d'une nappe phréatique à la source du Dun (qui se jette dans la Manche sans avoir été dépollué). Cette décharge est un désastre écologique et économique qu'il faut faire cesser dans les plus brefs délais.
UN PROJET VERTUEUX DE VALORISATION DES DÉCHETS
On nous avait promis un projet "vertueux". Une usine devait valoriser nos déchets et n'enfouir que les déchets ultimes dans une décharge attenante. L'usine de méthanisation a donc été construite à Brametot (alors que d'autres structures existaient sur le département, qui pouvaient absorber les ordures ménagères à un moindre coût). Cette opération a été pilotée par Véolia (par sa filiale Valor'Caux gérant de l’usine). L'ensemble étant géré par le SMITVAD (Syndicat Mixte de Valorisation des déchets).
AUJOURD'HUI LA DÉCHARGE EST ÉNORME
Elle reçoit plus de 36.000 tonnes de déchets par an &colon
‐ des rejets de l’usine de méthanisation, (qui n’arrive à traiter que 47&percnt des ordures reçues, contrairement aux promesses de départ),
‐ des encombrants des déchetteries environnantes qu’on ne prend la peine de recycler...
‐ de milliers de tonnes de déchets industriels (dont ceux de Véolia),
‐ des apports des centres de tri du Havre et de Rouen déchets qui n’ont légalement pas à être traités sur le site de Brametot.
LE CONSTAT &colon PAS DE VALORISATION &colon DE LA POLLUTION
Ce site « d’enfouissement » démesuré s'étend jour après jour.
‐ il ne respecte pas les mesures de traitements des rejets toxiques (présence hors norme chaque année de cyanure, d'arsenic et chrome cancérigènes), provoquant la pollution de l'environnement,
‐ il ne contrôle pas les dégorgements des rejets toxiques lors des fortes pluies fréquentes dans la région,
‐ il ne contrôle pas l'envol à des kilomètres à la ronde des films plastiques,
‐ il provoque une pollution olfactive sévère,
‐ il provoque une pollution visuelle (bientôt, la décharge sera l’un des points les plus hauts du plateau de Caux),
‐ il ne respecte pas les statuts qui stipulent que l'on ne peut traiter et stocker que des déchets régionaux issus des communes appartenant au territoire du SMITVAD.
‐ en outre, le SMTIVAD (gérant du site) facture des coûts de traitement et d'enfouissement les plus chers du département n'ayant rien à voir avec ceux présentés dans l'étude de faisabilité.
EN CONSÉQUENCE
Par mesure de SANTÉ PUBLIQUE et de PROTECTION d'un ENVIRONNEMENT menacé, nous demandons officiellement aux autorités compétentes (Sous Préfecture, Dreal, Ministère de l’environnement, Conseil Régional, Conseil Départemental) de prendre leurs responsabilité et DE FERMER LA DÉCHARGE DE BRAMETOT DANS LES PLUS BREFS DÉLAIS.
Rejoignez nous sur Facebook &colon Scandale écologique vallée du Dun, Normandie
UN PROJET VERTUEUX DE VALORISATION DES DÉCHETS
On nous avait promis un projet "vertueux". Une usine devait valoriser nos déchets et n'enfouir que les déchets ultimes dans une décharge attenante. L'usine de méthanisation a donc été construite à Brametot (alors que d'autres structures existaient sur le département, qui pouvaient absorber les ordures ménagères à un moindre coût). Cette opération a été pilotée par Véolia (par sa filiale Valor'Caux gérant de l’usine). L'ensemble étant géré par le SMITVAD (Syndicat Mixte de Valorisation des déchets).
AUJOURD'HUI LA DÉCHARGE EST ÉNORME
Elle reçoit plus de 36.000 tonnes de déchets par an &colon
‐ des rejets de l’usine de méthanisation, (qui n’arrive à traiter que 47&percnt des ordures reçues, contrairement aux promesses de départ),
‐ des encombrants des déchetteries environnantes qu’on ne prend la peine de recycler...
‐ de milliers de tonnes de déchets industriels (dont ceux de Véolia),
‐ des apports des centres de tri du Havre et de Rouen déchets qui n’ont légalement pas à être traités sur le site de Brametot.
LE CONSTAT &colon PAS DE VALORISATION &colon DE LA POLLUTION
Ce site « d’enfouissement » démesuré s'étend jour après jour.
‐ il ne respecte pas les mesures de traitements des rejets toxiques (présence hors norme chaque année de cyanure, d'arsenic et chrome cancérigènes), provoquant la pollution de l'environnement,
‐ il ne contrôle pas les dégorgements des rejets toxiques lors des fortes pluies fréquentes dans la région,
‐ il ne contrôle pas l'envol à des kilomètres à la ronde des films plastiques,
‐ il provoque une pollution olfactive sévère,
‐ il provoque une pollution visuelle (bientôt, la décharge sera l’un des points les plus hauts du plateau de Caux),
‐ il ne respecte pas les statuts qui stipulent que l'on ne peut traiter et stocker que des déchets régionaux issus des communes appartenant au territoire du SMITVAD.
‐ en outre, le SMTIVAD (gérant du site) facture des coûts de traitement et d'enfouissement les plus chers du département n'ayant rien à voir avec ceux présentés dans l'étude de faisabilité.
EN CONSÉQUENCE
Par mesure de SANTÉ PUBLIQUE et de PROTECTION d'un ENVIRONNEMENT menacé, nous demandons officiellement aux autorités compétentes (Sous Préfecture, Dreal, Ministère de l’environnement, Conseil Régional, Conseil Départemental) de prendre leurs responsabilité et DE FERMER LA DÉCHARGE DE BRAMETOT DANS LES PLUS BREFS DÉLAIS.
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