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Arrêtons le massacre.

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Cette pétition a été lancée par Pelcot P. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Pelcot P.
a lancé une pétition à destination de
L'union européen, gouvernement et gouverneur Népalais
Les sacrifices d’animaux, les plus terribles sur la planète, se perpétuent
tous les ans, lors de la fête de Daishain, et tous les 5 ans, lors de
la fête de Gadhimai.

Il n’existe aucune loi réglementant ces sacrifices et le
gouvernement népalais en subventionne certains. Leur nombre
augmente lorsque la situation économique des fidèles s’améliore,
leur donnant les moyens d’offrir des animaux.
Une grande partie de la population hindoue urbaine les
désapprouve. Cependant, les sacrifices d’animaux sont pratiqués
à grande échelle.
La fête de Gadhimai a lieu tous les cinq ans

En novembre, environ 250 000 animaux y ont été
mutilés ou décapités en l’espace de deux jours «pour plaire à
Gadhimai », déesse de la puissance.
Ce sont les mises à mort des panchhbali (les cinq offrandes) : des
buffles, des chèvres, des porcs, des coqs, des rats sont égorgés au
couteau. Leur mort est violente et lente. Les animaux sont toujours
vivants lorsque les prêtres répandent leur sang.
Tout de suite après, des hommes armés de sabres pénètrent dans
un enclos à l’intérieur duquel sont enfermés environ 20 000 buffles.
Ils commencent à les frapper en visant le cou. Quand ils ne parviennent
pas à décapiter l’animal, ils lui tranchent les pattes de derrière.
Une fois que l’animal est au sol, il est frappé à coups de sabre.
Pour le décapiter, il faut jusqu’à vingt-cinq tentatives.
Outre les méthodes usuelles de sacrifice

Comme l’égorgement
et la décapitation, d’autres formes de sacrifices sont pratiquées :
serpents brûlés vifs, écorchage à vif des porcs et arrachage du coeur
d’animaux vivants.
À Bhaktapur, des porcs sont écorchés vifs à mains nues et on
leur ouvre la poitrine, toujours à mains nues, pour en arracher le
coeur encore palpitant. L’animal cesse de hurler et meurt pendant
que son coeur encore battant est offert au temple au son d’une
musique tonitruante.
Il semble qu’il n’existe aucune limite aux différentes sortes
de cruauté infligées aux animaux au nom de la religion ou de
la culture.

Durant la fête annuelle de Khokana

un rite consiste à jeter
une jeune chèvre de cinq à six mois dans un bassin où de jeunes
hommes vont la dépecer vivante, à mains nues et avec leurs dents.
Neuf adolescents se jettent à l’eau et se mettent à la déchiqueter
en lui arrachant les oreilles, les sabots, la queue. Celui qui réussit
à la tuer devient le «héros ». Il lui revient de mener la danse
de Shinkali qui succède à ce rituel où la violence se déchaine
à l’état brut.
Publiée (Mis à jour )