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L’Élysée: La FrançAfrique tue. Non à la modification de la constitution congolaise.

L’Élysée: La FrançAfrique tue. Non à la modification de la constitution congolaise.

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Cette pétition a été lancée par Philippe A. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Philippe A.
a lancé une pétition à destination de
L’Élysée
Si les pays d'Afrique ayant des sous-sols capables de nourrir les leurs ne le font pas, le Congo Brazzaville est en cela un exemple, la méditerranée sera encore pour très longtemps le cimetière des africains.
Avec une production pétrolière de trois cent mille barils par jour, soit le 1/5ème de la production du Qatar, pour quatre millions d'habitants, le double de la population du Qatar, le Congo a le potentiel pour offrir à ses citoyens le 1/10ème de la qualité de vie des qatariens. Au lieu de cela 70% des congolais, selon l'ONU, vivent avec moins d'un dollar par jour.
Trop c'est trop.
Après plus de 30 ans au pouvoir, Denis Sassou Nguesso arrivera au terme de son mandat en 2016. Il doit partir. Point n'est question de modifier la constitution pour permettre à cet autocrate âgé de 71 ans de briguer un énième mandat.
En 1997 c'est l’Élysée qui, par le biais d'ELF AQUITAINE, au prix d'une effroyable guerre civile a imposé de nouveau Denis Sassou Nguesso à la tête du Congo. Qui a fait peut défaire.
De l'avis des spécialistes avertis sur la question des relations entre la France et l'Afrique, après la mort du Président Omar Bongo, Denis Sassou Nguesso est celui qui incarne le mieux l'âme de la FrançAfrique. Mohamed Ali avait dit, tuez la tête et le corps succombera.
En empêchant l'homme fort de Brazzaville de modifier la constitution congolaise afin de se succéder à lui même en 2016, c'est un coup déterminant qui sera porté à ce sordide réseau d'influences.
L'instant est favorable puisque dans la lettre adressée au Président Blaise Compaoré le 07 Octobre 2014, lettre publiée sur Internet le 30 du même mois par Jeune Afrique, le Président François Hollande mettait en garde son homologue burkinabé contre les risques d'un changement non consensuel de la constitution.
La suite est connue de tous, la volonté de l'actuel locataire de l’Élysée également.
Malheureusement, force est de constater que l’Élysée subit, à ce sujet, une pression des grands groupes français appuyés dans cette démarche par des lobbies à la solde du milliardaire congolais.
C'est pourquoi, pour consolider le Président François Hollande dans sa volonté de mettre fin à la FrançAfrique afin de donner naissance à une politique africaine de la France respectueuse de la vie humaine, l'actualité sur les migrants en dit long à ce propos, cette pétition vaut la peine d'être signée.
Le plus bel exploit de l'homme est celui de l'homme au secours de son prochain.

À écouter sur France Inter : Congo-Brazzaville, le massacre du Beach. Un scandale qui est aussi français.

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