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Renversez le jugemeant et soutenez la lutte contre le meansonge institutionalisé.

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Cette pétition a été lancée par Lavie C. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Lavie C.
a lancé une pétition à destination de
Le ministre de la justice du Québec
Demande de Main Levée
Sur une condition médico&dashfinancière&dashjuridique inacceptable.
Pourquoi c'est important
Déclaré homme libre par le très Hon. juge de la Cour Supérieure Me. Jacques Tremblay le trois avril 2017, il reste une vieille condamnation à réfuter par la voie de cette pétition, et à demander à la Justice de prendre connaissance et d’agir en conséquence de cette lettre pour moi, Laval Chabot, la voici&colon

Nature de la plainte et de mon insatisfaction&colonOn ne considère pas que l’opinion d’un homme prise isolémeant ait une grande valeur, mais, quand beaucoup d’hommes agissent collectivemeant en démocratie, le même jugemeant médiocre est tenu pour être l’arbitre de la justice et le critère de la droiture. C’est précisémeant ce de quoi je souffre. Du jugemeant médiocre répandu sur moi par les médecins et sur mon compte personnel en Caisse Pop. Sont‐ce là des prétentions politiques qu’on machine pour me garder sous surveillance servile par la force&quest Je ne force pas. Les Québécois sont un peuple qui ne force pas. Un peuple désarmé qui, pour se défendre des injustices dont le monde les afflige, ne rétorquent pas par la voie des armes. L’État Québécois est un état pacifique du point de vue universel, international, régional, local et dans nos maisons, nos lieux de travaux, nos divertissemeants, jusque dans notre vie intime (la confusion de dire vie privée et d’être privés de quelque chose) et sera libellé ainsi dans notre constitution future.
Au début je vivais à l’île D’Orléans.
À l'âge de 2 ans je me suis tombé de ma chaise‐haute 2 fois, une par en avant, une par en arrière. J’avais déjà commencé à manger de la viande à 4 ans. Je fortillais. Au son de la radio, je prenais un rythme de balancier pour essayer de bien suivre le tempo. Bong sur les pattes d’en arrière, bong sur les pattes d’en avant&excl Et j’y arrivais. Mais pas ces 2 fois là. J’ai dû prendre un p’tit coup. Boire du lait en trop, après ça, ça me levait le coeur. Je n’avais que très peu commencé à écrire. Je faisais des signes avec les doigts. Quand je voyais du texte assez gros, de loin, avec mon focus, je redessinais les lettres que j’aimais et corrigeait, de loin, de visu avec mon doigt, la manière oscilloscopique i.e. de façon ouverte, qu’un enfant de cet âge, dès la vue d'un moniteur cardiaque, conçoit de mémoire la preuve quant à lui des meilleures façons de décrire la parole par des lettres et par la pensée les accorder à un système de règles acceptables aux principes sonores de l’émanation des sons audibles.
À 3 ans j'ai eu une clavicule cassée. À 4 ans, j'ai eu l'autre clavicule cassée. À 5 ans j'ai frappé en pleine face un pommier dans la côte où je glissais en soucoupe d'aluminium sur la croûte durcie. À 12 ans, je jouais au hockey et un grand gars de 20 ans m'a fait un 6 pouces, cassé une côte et plaqué entre la bande et la glace, dans le coin, assomé. À 13 ans, j'ai glissé dans un ravin avec mon cousin et nous avons heurté violemmeant le fond dans la neige, je saignais du nez. À 14 ans, j'ai eu mes 2 dents incisives cassées dans le fond d'une piscine intérieure pour protéger un jeune qui sautait perpendiculairemeant à moi dans l'eau. Fallait que je fonce dessus, mais j’étais un type sans violence. Mon père avait dû parler de moi à ce moment‐là. Chez le dentiste, une fois par semaine, il me sciait ces dents‐là à la roulette‐machine, et son anesthésique ne fonctionnait pas du tout. La roulette était un vieux 10¢ auquel on avait fabriqué des dents toutes croches à la lime manuelle et soudé une tige pour se ficher dans le manche électrique. Effet grinder garantit. Sous le nez jusqu'au cerveau.
À 16 ans, je n’é ⊥ais plus un puceau.
À 18 ans je devins père. Mais officiellemeant j’en avais 17 au début.Je vivais ensuite à Jonquière comme étudiant.
À 19 ans j'ai eu un accident de la route. J'étais en moto avec ma première promise à l’arrière. Mais je préférais la vie en numéro deux. Une Volks Beetle bleu‐poudre nous a coupé le chemin et nous sommes revolés sur le bord de la route, chacun de son côté, elle beaucoup plus loin. Et les responsables se sont enfuies. À 22 ans, dans un hôpital psychiatrique pour une dépression, un patient non‐surveillé et dangereux m'a attaqué par en arrière et je suis tombé par en arrière comme une planche sur le cimeant (terrazo).
À 22 ans, j’ai été arrêté pour attentat à la pudeur et pour devoir subir des relations homosexuelles en prison. Les prisons servent&dashelles le bien des détenus&quest Pendant 10 jours dont le tiers à l’infirmerie. On me fit sortir et l’on me drogua d’octobre à avril avec de très fortes doses de Haldol/Kémadrin, en attendant mon funeste procès. Pendant cette période trouble à l’Hôpital St&dashMichel&dashArchange, je fus attaqué par un jeune meurtrier. Le gardien devait surveiller le dortoir et il ne l’a pas fait. Il est allé prendre son café. On m’asséna un grand, très grand coup d’un rateau dans le dos et je tombai comme un madrier sur le terrazzo par en&dasharrière. J’ai mentionné au gardien que j’étais tombé à cause de l’autre type mais le gardien a sa bonne part de responsabilité dans les séquelles à ma tête.
Je fus acquitté à 23 ans le 9 février 1974.

Suite à ces traumatismes (crâniens) un médecin aujourd'hui décédé, Jacques Bergeron, voulant à tout prix que je lui dise moi‐même un diagnostic sur moi, au hasard, alors que je ne connaissais pas du tout la psychiatrie. Il m'affluba en 1974 du diagnostic erroné et injurieux d'une psychose affective en me forçant par intimidation à le dire et en me droguant pour me le faire croire. Pourtant j’ai passé une résonnance magnétique qui confirme les dommages crâniens, et ce n’est pas du tout la même chose.

En mai '74 j’ai eu un rhume et mon ex voulait que je reprenne la médication parce que j’avais l’air endormi à cause des Contact C. J’ai repris alors la médication sous intimidation encore une fois. Il ne fallait surtout pas s’obstiner contre cette femme. En 1984 j'ai subi une vasectomie par abus de confiance car j’aurais pu me trouver une autre famille. Nous avons été très mal conseillés et de les avoir écoutés, bien que je ne la désirais pas, et que je l’aie dit à maintes reprises pendant toute l’année précédente, en juin 1984 et j'ai subi par conséquent une perte de jouissance de la vie inestimable. Mon ex&dashconjointe Louise Dumont ( nommée Chabot à ce moment&dashlà) exigeait sous peine d’être constamment en colère par lamentations et harcèlemeants. Caractère qu’elle adopta quand même que j’eusse subi cette déplorable boucherie.
Les médecins coupables sont&colon Claude Lemay, urologue, et Serge Bordeleau, md. chirurgien urologue.
Un troisième, le Dr. Michel Thabet, à la suite de trois rendez&dashvous infructueux après l’an 2002, prétendit que je ne pouvais pas recevoir une recanalisation pour ma propre fécondité parce que je devais au préalable choisir une compagne qui ait un travail rénuméré suffisamment et que ma situation financière personnelle soit bonne. Le problème est que dans la réalité à l’aise, aucune femme ne désire actuellement dans l’état de la tutelle ou curatelle une personne souffrant de l’injustice la plus éprouvante de la part de tout le personnel soignant, d’enlever ses héritages à un héritier légal et, en surplus en présentant des témoignages bourrés de menteries ce qui est l’une des plus graves entraves à la vraie justice.
J'ai eu plusieurs relations depuis 1984 et aucune n'a pu rester avec moi pour recevoir de ma semence fertile, puisque je suis repoussant pour une femme normale, vu ces broches testiculaires horribles et souffrantes à ressentir que je traîne partout. Tout désir de fécondité de la part des femmes passe loin de moi. Et ce, sans même devoir le leur dire. Je les révulse au maximum. Dites&dashmoi, pouvez&dashvous envoyer à un urologue un mandat d’exécution&quest Et à ces médecins, un recours pour leur bêtise inhumaine et scandaleuse&quest Cette femme voulait couper le canal famille et j’ai subi une vasectomie sous l'abus de confiance dont des médecins jouissaient en proférant des mensonges sur les effets "sans danger, et ça ne change rien" lorsque je demandais des informations sur les conséquences de l'opération. C’était les paroles textuelles de cest médecins de famille&colon Serge Bordeleau et Claude Lemay).
En 1989 j’ai changé de médecin psy. Il y a eu la dr. Marie‐Luce Quintal qui était intronisée conseillère du gouvernemeant Marois et était convaincue de sa grande implication sociale d'où je commençais à douter du bon effet de leurs méthodes sur une bonne santé. Mais j'ai repris quand même la médication orale au lieu d'une dizaine d'années d'injections sous ordonnance légale. On m’enfermait souvent en isolemeant avec ces injections. Cela dura jusqu’à 2016. En 2011 on m'arrêta encore une dernière fois. On me jugea d'impudicité parce que j’ai eu une altercation chez‐moi avec une de mes filles au sujet d'une opération qu'elle n'était pas d'accord, elle appela la police pour venir m’arrêter. Résultat&colon un jugemeant d’ordonnance de 3 ans qui se terminait en août 2014 et qui a été renouvelé pour encore 3 ans. Ce médecin contre laquelle j'ai fait une plainte officielle au Collège des Médecins du Québec. Comme résultat, elle démissionna ou fut radiée.

Plusieurs rencontres entre cette médecin et moi seul à seul dans son bureau ont eu lieu entre autres en février 2002 où je demandais son conseil pour consolider une dette que j’avais contractée pour ma copine et pour des instruments de musique pour moi‐même. La somme était d’environ 22 mille dollars.

Ce médecin me suggéra le Curateur Public du Québec.

Je lui ai dit que j’étais d’accord.

Après, elle me dit qu’elle allait être «obligée» de mentir en déclarant à ma famille et à la Cour Supérieure que j’étais inapte à m’occuper de moi‐même et de mes biens et de mes affaires, incapable de tenir un budget. J’étais outré. Elle fit signer ma famille, mais ce n’est pas tous qui signèrent sur ce jugemeant de la Cour supérieure, sachant bien que c'était une supercherie, une arnaque, mon garçon et mon grand frère ne signèrent pas. Cette docteure confirma la plainte en disant que j’allais avoir de la misère à me sortir de chez le Curateur.

Ces rencontres eurent lieu au CHRG. L’Institut universitaire en santé mentale de Québec.

En 2012, j’ai choisi alors le dr. Carol Villeneuve à cause de la démission de la précédente. Celui‐ci devait m'aider à sortir de l'emprise du Curateur Public du Québec pour être libre à nouveau. Mais au lieu d’évaluer ma santé sur parole, il moratorise le délai pour retarder la main‐levée de mon statut de majeur et tous leurs dossiers foutus à mon sujet qui restent à jeter à la poubelle.

Depuis 2002, je suis aux prises avec un budget que je ne peux pas contrôler et bien qu’il ne me manque pas d’argent dans le compte à leurs bureaux, je ne peux pas vivre libremeant et en pleine possession de mes moyens, investir dans mes productions scientifiques entre autres. De plus, ayant hérité de ma défunte mère en 2008, les investissemeants réalisés avec mes fonds par le Curateur sont nettemeant insuffisants en terme de rendemeants d’intérêts. (Environ 0,6&percnt)
Le libellé du testameant de ma défunte mère définissait la façon inaliénable de ce legs ce qui ne fut jamais respecté par la Cour ou les poursuivants.
Le curateur ou la curatrice n'en ont jamais voulu tenir compte.
La situation était tellemeant insoutenable que plusieurs fois je ne la supportais plus, je paniquais et me révoltais, et la psychiatre en profitait pour me faire séquestrer par des arrestations arbitraires sans mandats souvent.

Une autre rencontre a eu lieu en mai 2013 avec les dr. Roch‐Hugo Bouchard et Carol Villeneuve, séparémeant pour faire une expertise indépendante qui m'aiderait à me libérer du Curateur. Ces docteurs ont eu recours à une diffamation systématique de mon état meantal dans leurs déclarations. Je ne peux plus bien dormir là‐dessus. Ils font preuve de discrimination à mon égard.

De plus j’ai fait l’analyse bien documeantée des pseudo‐médicameants qu’ils m’obligent toujours à subir avec un jugemeant d’ordonnance et il en ressort qu’ils sont tous des poisons toxiques, dangereux et mortels pour la santé. Les études en annexe en font foi.
Liste des « médicameants» que j’ai été forcé à prendre par usage de la force brutale&colon Aripiprazole ( Abilify). Ativan. Clozapine. Halopéridol. Lithium. InvegaSustenna. Lorazépam. Risperdal. Séroquel. ( Soufre. Chlore. Fluor.)

Mes attentes&colon

Que ce mémoire soit présenté au Ministère de la Justice du Gouvernemeant du Québec pour me libérer de ces médecins‐psychiatres peu consciencieux et dont la compétence est plus que douteuse, pour me libérer de ce jugemeant d'ordonnance, pour me libérer du Curateur Public qui me refuse l’aide d’un avocat contre ces médecins, en prétendant faussemeant toujours que je serais inapte, et que ces médecins soient déclarés inaptes à exercer la profession médicale.
Que je sois bien remboursé pour toutes ces années infernales pour privation de jouissance de la vie, erreurs de diagnostics, et qu’enfin je sois libre, libéré du Curateur Public du Québec.

Matthieu Chap. 5
21. Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens&colon Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges.
22. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges; que celui qui dira à son frère&colon Raca&excl ( schizophrène) mérite d'être puni par le sanhédrin; et que celui qui lui dira&colon Insensé&excl mérite d'être puni par le feu de la géhenne.
C'est la poule qui jacasse qui pond.
De même, je vous dis que tout médecin qui accuse faussemeant un client de maladie meantale ou d’inaptitude mérite d’être puni par la Cour.
Voici, depuis 2003, la liste de mes humbles réalisations, au titre de dire que ce n'est pas la vérité de dire que je serais inapte.
17 livres et publications auto‐édités.
13 albums de musique progressive.
1 police de caractères universelle ( en 188 langues).
Des dizaines d'oeuvres picturales.
1 diète végé.( depuis 2005)

L'inconstitutionalité de cette procédure ayant pour objet un jugemeant d’ordonnance impertinent dont je fais l’objet d’une victime par suite d'une série de parjures sur des rapports pseudo‐confidentiels entre des psychiatres du centre de détention l'Institut de Recherche en Santé Meantale de Québec, est donc basé sur un faux diagnostic, et donc traité sans fondement. C’est notoire. La dre Marie‐Luce Quintal, diplômée et membre de l'ordre des médecins est une éhontée commettrice de tortures et d’empoisonnemeants, généraliste en son domaine, ainsi que son supposé successeur dans ce faux dossier, qui n'a pas droit d'exister, le pseudo&dashchevronné dr Carol Villeneuve, qui a de semblables privilèges de commettre des supplices à la tonne, ont ainsi fait d’avoir renié mes DROITS DE L’HOMME, mes DROITS ET LIBERTÉS, de m’avoir privé d'une vie normale, de m’avoir mis en cachots, de m’avoir piqué à répétition, et de m’avoir bloqué l'accès à mon patrimoine légal par des parjures comme je vous disais, en utilisant un conjugué entre le Curateur du Québec et la Cour Supérieure, moi qui ne me suis trouvé coupable d'aucun crime depuis 1974 et de tout temps sauf pour avoir été nourri comme un carnivore jusqu’au milieu de l’année 2005.
Depuis 1995, je fais de la musique. De plus, j’ai participé assez assidûmeant à des spectacles de poésie, de théorie oscillatoire et de sociologie prophétique depuis 2009, en français et en langue seconde. N’est‐ce pas des preuves irréfutables que je ne suis pas souffrant du tout d'ineptie fonctionnelle et que ces accusations n’étaient que du mensonge&quest
J’exhorte donc la Cour à ne plus se laisser duper par ces prétendus diplômes de médecins sans conscience et sans souci de vérité qui professent par la discrimination, l'intimidation et la diffamation systématiques de se remplir leurs carnets de commandes de pseudo&dashmédicaments. J’exhorte aussi l’ordre des pharmaciens à faire part au public de la liste des éléments toxiques et mortels contenus dans leurs médicaments. Ne peut‐on pas nourrir thérapeutiquement la population avec des aliments naturels&quest Est‐ce que ça existe pour rien, la grande nature&quest
Celui ou celle ne tue pas sauve la vie.

Laval Chabo⊥

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