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Nouveaux radars mobiles mobiles - Appel au boycott des marques Renault et PSA Peugeot Citroën

Nouveaux radars mobiles mobiles - Appel au boycott des marques Renault et PSA Peugeot Citroën

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Cette pétition a été lancée par Guillaume Y. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Guillaume Y.
a lancé une pétition à destination de
Le Ministre de l'Intérieur Mr Valls

La sécurité routière a annoncé le 18 octobre 2013, 3 jours avant leur déploiement, la mise en place de nouvelles voitures banalisées de police et de gendarmerie, destinées à se déplacer sur les routes de France et à verbaliser les personnes en excès de vitesse dans les deux sens de circulation. Ce sont précisément 13 Renault Mégane et 7 Peugeot 208 qui équiperont, dès ce lundi 21 octobre, les forces de l'ordre des départements de l'Ain, l'Aisne, les Côtes-d'Armor, la Dordogne, l'Eure-et-Loir, le Gard, l'Indre-et-Loire, le Loiret, la Manche, la Marne, la Moselle, la Seine-Maritime, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, les Yvelines, les Hauts-de-Seine, le Val-d'Oise, la Vendée, et de la ville de Paris.Ces radars mobiles de nouvelle génération verront leur nombre exploser dans les prochains mois, pour atteindre les 300 véhicules équipés d'ici fin 2015.


Si les Français avaient pu poser un regard bienveillant sur les premiers radars automatiques installés en France il y a de cela 10 ans dans les zones accidentogènes, le procédé a très vite dérapé et dévoilé le pot aux roses : sous couvert d'assurer la sécurité de tous et de dévoiler des chiffres de la mortalité sur les routes sans cesse meilleurs chaque année, l'Etat français avait trouvé là un filon, une manne financière pesant rapidement plusieurs centaines de millions d'euros par an. Quitte à omettre dans le débat, au passage, les progrès fulgurants opérés par les constructeurs sur la sécurité des véhicules et des personnes, le renouvellement du parc automobile grâce aux primes à la casse, l'amélioration des revêtements routiers, des pneumatiques,... Tous ces éléments qui font que la mortalité sur les routes baisse dans tous les pays développés... Y compris dans ceux qui n'ont pas changé leur politique répressive à l'égard de la vitesse.Il suffit de voyager un peu pour comprendre que les pays qui adoptent une vraie politique sécuritaire sur la route ne se contentent pas de la facilité mécanique et abrutie de constater une vitesse sans aucune appréciation de l'environnement, de l'attitude du conducteur, de son âge, de la voiture conduite...


Par ma signature je manifeste mon exaspération vis-à-vis d'un système qui prend les automobilistes en otage sous de faux prétextes, en utilisant des méthodes quasi-mafieuses, alors que la contestation n'est plus envisageable ou presque.Je demande au gouvernement de concentrer ses efforts sur les vrais problèmes de la route, à savoir une meilleure formation des conducteurs, une application stricte et nécessaire des règles les plus élémentaires de conduite (clignotants, pas de consommation d'alcool ou de drogues, distances de sécurité,...)... Même si ça ne permet plus de ponctionner sauvagement le citoyen français qui a encore les moyens de se permettre de conduire.Et face à cette pression unilatérale et débilitante, je décide à mon tour de jouer la carte de l'oppression en déclarant ce jour m'engager à ne plus acheter de véhicules des marques françaises Renault et PSA Peugeot Citroën, pourvoyeurs et complices de cette mascarade, jusqu'à ce que le gouvernement revoie sa position sur le dossier.

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