Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur 'Tout autoriser' ou activez uniquement les 'Cookies pour une publicité ciblée '
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Nous utilisons des cookies pour analyser l'utilisation de ce site par les visiteurs et vous offrir la meilleure navigation possible. Consultez ici notre politique de Cookies.
OK
politiciens, académiciens, activistes des droits de l’Homme, acteurs civils: bombardement du Rif et de Jebala avec des gaz toxiques, interdits à l’échel

politiciens, académiciens, activistes des droits de l’Homme, acteurs civils: bombardement du Rif et de Jebala avec des gaz toxiques, interdits à l’échel

1 personnes ont signé. Allons jusqu'à
50 soutiens

Clore

Finaliser votre signature

,
Pour vous désinscrire ou modifier vos données à tout instant, écrivez à unsubscribe@avaaz.org, ou utilisez le lien disponible dans chaque e-mail. Avaaz protégera vos informations personnelles et ne partage jamais les données avec des tiers.
Cette pétition a été lancée par centre D. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
centre D.
a lancé une pétition à destination de
politiciens, académiciens, activistes des droits de l’Homme, acteurs civils
Le Centre de la mémoire commune pour la démocratie et la paix (CMCDP) a organisé le 9 mars 2018 une rencontre scientifique autour de l’ouvrage de Mustapha EL MERROUN, historien marocain, intitulé La guerre chimique contre le Rif et Jebala.
Ledit livre qui traite le douloureux événement historique d’un point de vue académique et objectif a permis la conscientisation des différents participants à sa lecture (acteurs civils, spécialistes des droits de l’Homme, journalistes…) en dévoilant les horreurs du drame subies par les populations sur les plan sanitaire, psychologique et matériel, et en soulignant ses graves prolongements.
À la fin des débats, les personnes présentes, essentiellement des historiens, des juristes et des activistes des droits de l’Homme, ont conclu que l’Allemagne, l’Espagne, les États&dashUnis et la France avaient participé aux bombardements du Rif et de Jebala entre 1921 et 1926 en utilisant des armes non conventionnelles qui sont, fort probablement, à l’origine de la propagation de maladies cancéreuses dans toutes ces régions.
Convaincus de cette vérité, les participants ont proposé au président du CMCDP d’adresser une pétition internationale aux politiciens, académiciens, activistes des droits de l’Homme, acteurs civils et intellectuels des pays précités et aussi du Maroc (en tant que victime) pour &colon
&dash Exhorter les responsables de ce crime contre l’humanité à dévoiler la véritable nature des produits utilisés dans ladite guerre qui sont apparemment à l’origine des maladies cancéreuses répandues parmi la population des régions sinistrées.
&dash Trouver des solutions pratiques à l’état de santé détérioré dans la région du Rif et de Jebala où le cancer a franchi le stade de l’endémisme.
En adoptant cette résolution, le CMCDP veut s’adresser aux pays concernés et à la Conscience internationale pour leur rappeler les drames humains occasionnés par une guerre inéquitable où les armes employées étaient illégales. Par cette initiative, le CMCDP fait écho des récentes déclarations du ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération espagnol et l’invite, par la même occasion, ainsi que le gouvernement de son pays à revoir leur position par rapport à ce dossier aussi bien sur le plan politique que sur le plan juridique.
Le CMCDP estime que le traitement de ce dossier doit se faire dans le cadre d’une approche qui consolide les relations de proximité et de coopération entre le Maroc et les pays concernés, loin des luttes politiques internes, et qui renforce les processus démocratiques et la construction de l’État de droit.
Par conséquent, le CMCDP lance un appel urgent aux pays précités pour entamer un dialogue réfléchi afin que justice soit rendue à la région du Rif et de Jebala, les dommages soient réparés et la responsabilité soit reconnue conformément au droit international

Publiée (Mis à jour )