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CSA: Respect de la déontologie à France 2
Jean-François C.
a lancé une pétition à destination de
CSA
Les
soussignés demandent au CSA de bien vouloir se saisir du respect des
obligations déontologiques de la chaîne France 2, émission « Des paroles
et des actes » présenté par M. Pujadas le 21 janvier 2016. Il ressort de cette émission
qu’une femme interrogeant M. Finkielkraut fut présentée comme une simple
citoyenne, musulmane apolitique et enseignante. Or une simple recherche de
quelques secondes sur google montre que Madame Wiam Berhouma est membre dirigeant
de la MAFED, collectif de femme se disant victime d’un « racisme
d’État » émanation du parti des indigènes de la République. Madame
Berhouma est en outre organisatrice d’une manifestation « Marche de la
dignité » de soutien au Hamas qui a versé dans l’antisémitisme. Les
téléspectateurs furent donc délibérément trompés Madame Berhouma ne saurait
représenter la musulmane française de base. Ceci nous paraît contraire aux
dispositions qui apparaissent sur le site du CSA : « Les éditeurs sont
en particulier tenus de vérifier et de donner la source de leurs informations,
de faire preuve d'honnêteté et de rigueur dans leur présentation et leur
traitement et d’éviter d’induire le téléspectateur en erreur »
soussignés demandent au CSA de bien vouloir se saisir du respect des
obligations déontologiques de la chaîne France 2, émission « Des paroles
et des actes » présenté par M. Pujadas le 21 janvier 2016. Il ressort de cette émission
qu’une femme interrogeant M. Finkielkraut fut présentée comme une simple
citoyenne, musulmane apolitique et enseignante. Or une simple recherche de
quelques secondes sur google montre que Madame Wiam Berhouma est membre dirigeant
de la MAFED, collectif de femme se disant victime d’un « racisme
d’État » émanation du parti des indigènes de la République. Madame
Berhouma est en outre organisatrice d’une manifestation « Marche de la
dignité » de soutien au Hamas qui a versé dans l’antisémitisme. Les
téléspectateurs furent donc délibérément trompés Madame Berhouma ne saurait
représenter la musulmane française de base. Ceci nous paraît contraire aux
dispositions qui apparaissent sur le site du CSA : « Les éditeurs sont
en particulier tenus de vérifier et de donner la source de leurs informations,
de faire preuve d'honnêteté et de rigueur dans leur présentation et leur
traitement et d’éviter d’induire le téléspectateur en erreur »
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