Faure GNASSINGBE, Chef d'Etat du Togo et son Gouvernement: RESPECT DE LA SACRALITE DE LA VIE ET DES DROITS DE L'HOMME AU TOGO

Le Togo est un pays où nonobstant de graves précédents de violation manifeste des droits de l’Homme, des enfants, des jeunes, des adultes et des personnes âgées sont tués impunément sans aucune suite judiciaire pour les plaintes déposées par les familles des victimes.

Dernier crime crapuleux survenu le 15 janvier 2015, avec le meurtre d’une adolescente d’une vingtaine d’années, Djogbessi Akossiwa Elise, dont le corps est retrouvé en décomposition avec quatre autres identiques dans le puisard du meurtrier, Chief Elder Christian Nnadozie, un nigérian d’origine ibo membre de “Ogbuefi Nnewi communauty“ et voisin de quartier (Bé Kpota) à Lomé, la capitale du Togo.

Lomé connaît au-delà des massacres à des fins politiques de plusieurs centaines de civils (présidentielle frauduleuse de 2005 ayant permis l’accession sanglante au pouvoir de Faure Gnassingbé, fils du défunt dictateur Eyadéma Gnassingbé) régulièrement des crimes rituels pratiqués principalement sur des jeunes filles sans que personne ne s’en émeuve.

2015 doit sonner le glas du mal, de la criminalité et de l’impunité au Togo !

Soutenez par votre signature la pétition du Collectif de Résurgence de la Diaspora (CRD)-TOGO et du Mouvement KEKELI (MK) pour la Chaîne de la Dignité pour que soit mis un terme à cinquante ans de règne du crime, de la terreur et de la déshumanisation au Togo du clan Gnassingbé soutenu par les autorités françaises et les réseaux obscurs internationaux.