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Respect des engagements et maintien des dessertes en gare de Châtellerault
Pays C.
a lancé une pétition à destination de
G. Pepy, président de la SNCF - A. Vidalies, secrétaire d'état aux transports
En 2011, le projet LGV Sud Europe Atlantique, qui s'étend sur 300 km entre Tours et Bordeaux, s'annonce comme une chance pour les gares desservies par cette infrastructure prometteuse.
Le schéma prévu représentait une opportunité pour les 515 000 usagers fréquentant la gare de Châtellerault , chaque année, avec un gain de temps important sur leur parcours : 3 min. en moins pour Paris et 37 min. en moins pour Bordeaux (rendu à 1h17 de Châtellerault). Les perspectives étaient aussi intéressantes pour les entreprises locales pour développer leur activité avec l’Aquitaine et le Sud-Ouest.
Aujourd'hui, les agglomérations de Châtellerault, de Poitiers et le Département de la Vienne ont respecté leur partie du contrat , en apportant leur contribution financière à l'ouvrage en construction. Pour l'Agglo, plus de 4 millions d'euros ont été investis pour offrir un transport public de qualité aux voyageurs. Une convention de dessertes signée de tous les partenaires et des collectivités garantit un niveau au moins équivalent, à celui de l'année de référence, soit 2009.
Mais aujourd'hui, l'état, Réseau Ferré de France (RFF) - devenu SNCF Réseau depuis 2015 - et la SNCF semblent oublier leurs engagements. Leurs propositions sont inacceptables !
De 5 dessertes avec Paris dans chaque sens, prévus dans la convention en 2009, et même 6 arrêts assurés actuellement pour répondre aux besoins des usagers , il n'est plus question que de 4 arrêts à compter de la mise en service de la ligne, en juillet 2017. Il n'y aurait plus de train direct , contrairement à la situation actuelle, au départ de la gare de Châtellerault pour Bordeaux , qui deviendra en 2016 la capitale de la nouvelle grande Région. Et, pour couronner le tout, le temps de trajet pourrait être allongé !
La France ne peut pas se résumer à la relation de Paris aux grandes métropoles. La LGV est certes un moyen de transport, mais aussi un outil d'aménagement des territoires au service du public. Les temps de trajets et le nombre de dessertes prévus dans la convention signée en 2011 par l'Agglo de Châtellerault avec l’État et RFF doivent être respectés.
Le schéma prévu représentait une opportunité pour les 515 000 usagers fréquentant la gare de Châtellerault , chaque année, avec un gain de temps important sur leur parcours : 3 min. en moins pour Paris et 37 min. en moins pour Bordeaux (rendu à 1h17 de Châtellerault). Les perspectives étaient aussi intéressantes pour les entreprises locales pour développer leur activité avec l’Aquitaine et le Sud-Ouest.
Aujourd'hui, les agglomérations de Châtellerault, de Poitiers et le Département de la Vienne ont respecté leur partie du contrat , en apportant leur contribution financière à l'ouvrage en construction. Pour l'Agglo, plus de 4 millions d'euros ont été investis pour offrir un transport public de qualité aux voyageurs. Une convention de dessertes signée de tous les partenaires et des collectivités garantit un niveau au moins équivalent, à celui de l'année de référence, soit 2009.
Mais aujourd'hui, l'état, Réseau Ferré de France (RFF) - devenu SNCF Réseau depuis 2015 - et la SNCF semblent oublier leurs engagements. Leurs propositions sont inacceptables !
De 5 dessertes avec Paris dans chaque sens, prévus dans la convention en 2009, et même 6 arrêts assurés actuellement pour répondre aux besoins des usagers , il n'est plus question que de 4 arrêts à compter de la mise en service de la ligne, en juillet 2017. Il n'y aurait plus de train direct , contrairement à la situation actuelle, au départ de la gare de Châtellerault pour Bordeaux , qui deviendra en 2016 la capitale de la nouvelle grande Région. Et, pour couronner le tout, le temps de trajet pourrait être allongé !
La France ne peut pas se résumer à la relation de Paris aux grandes métropoles. La LGV est certes un moyen de transport, mais aussi un outil d'aménagement des territoires au service du public. Les temps de trajets et le nombre de dessertes prévus dans la convention signée en 2011 par l'Agglo de Châtellerault avec l’État et RFF doivent être respectés.
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