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Ne laissez pas le gouvernement sabrer dans la vie spirituelle de nos jeunes !

Ne laissez pas le gouvernement sabrer dans la vie spirituelle de nos jeunes !

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Cette pétition a été lancée par Johane F. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Johane F.
a lancé une pétition à destination de
Jean-François Roberge, ministre de l'éducation
Le projet de loi sur l'organisation scolaire actuellement à l'étude au Québec rayerait toute mention de la spiritualité dans la Loi sur l'instruction publique en coupant, entre autres, l'article 6 : "L'élève a droit à des services complémentaires d'animation spirituelle et d'engagement communautaire."
La loi modifierait également l'article 36 : "...L'école doit, notamment, faciliter le cheminement spirituel de l'élève afin de favoriser son épanouissement."

"La vie spirituelle, c'est quand on parle de développement de soi, d'intériorité, d'apprendre à se connaître et connaître ses valeurs." (Mireille Hajjar, animatrice de vie spirituelle et d'engagement communautaire en milieu scolaire)
Le travail d'un-e AVSEC n'a rien à voir avec les religions et consiste à "parler d'égalité des sexes, d'environnement, de gestion du stress ou de médias sociaux [de même qu'à] gérer le programme de bénévolat de l'école". (Marie-Josée Paquette Comeau, journaliste à Radio-Canada)

Personnellement, mes ados ont pu largement bénéficier des services de vie spirituelle et d'engagement communautaire de leur école secondaire en ayant, grâce à l'AVSEC, l'immense opportunité de participer à des stages humanitaires en Haïti, au Nicaragua et au Guatémala, en plus d'oeuvrer à des causes telles qu'Amnistie Internationale, le Comité de solidarité ou la marche du club 2/3. Leur esprit s'est ouvert au contact des opprimés de ce monde et par des activités de réflexion telles qu'un 24 heures de silence ou un camp jeunesse.

Ne laissons pas nos élus réduire nos écoles à des lieux de conditionnement pour le marché du travail ! Nos jeunes ont droit d'avoir accès au plein développement de toutes leurs potentialités et de leur être entier. Il-elle-s ne sont pas des outils de production, M. Roberge !






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