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Libération des prisonniers politiques et de tous ceux qui sont injustement accusés et maintenus en détention en TUNISIE
Christian S.
a lancé une pétition à destination de
Monsieur Ali Laârayedh, 1er Ministre, Monsieur Nadhir Ben Ammou, Ministre de la Justice
Je suis Français, né à Tunis il y a bien longtemps, bien avant que Bourguiba n’accède au pouvoir. Je m’inquiète depuis la révolution de jasmin pour mes amis tunisiens, particulièrement pour tous ceux qui sous mandat de dépôt sont emprisonnés comme des criminels, sans preuve, enfermés depuis de longs mois, privés de leurs droits et de leur famille, sans espoir de libération prochaine alors que les pires voyous sont laissés libres de toutes contraintes et circulent librement et en toute impunité.
La pétition que je vous propose de signer concerne un homme intègre et sans reproche, haut fonctionnaire, Ambassadeur et spécialiste du monde arabe, dans les domaines de l’éducation, de la culture et des sciences, ex-PDG de la télévision Tunisienne sous le régime précédent.
Fervent partisan des droits de l’homme, je me suis toujours rangé du coté des plus faibles et des opprimés. J’ai cru un peu naïvement que les grands hommes de France tels que le président de la république française, Monsieur François Hollande, le ministre des relations extérieures, Monsieur Laurent Fabius, le président de l’Assemblée Nationale, Monsieur Claude Bartolone, le président du Sénat, Monsieur Jean-Pierre Bel, mais aussi l’Ambassadeur de France à Tunis, Monsieur François GOUYETTE pourraient faire avancer le débat. Je ne pense pas m’être trompé, mais les changements, s’ils devaient y en avoir, se font attendre. Le président du parlement Européen, Monsieur Martin Schulz, l’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Paris, Monsieur Charles H. RIVKIN, de même que l’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Tunis, Monsieur Jacob Walles et enfin, Madame Navanethem Pillay, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, à Genève sont tous dans la confidence. Malgré cela, je ne sens pas le frémissement nécessaire pour faire cesser ces entorses aux droits les plus élémentaires de chaque individu civilisé.
Indigné par tant d’injustice, c’est pour cette raison que je m’engage, pour cet homme bon que je connais, mais aussi pour tous ceux qui croupissent comme lui dans les geôles tunisiennes, alors que les délais d’incarcération, selon la loi du pays sont très largement dépassés.
Deux PDG de Tunis Air, emprisonnés dans une affaire d’emplois fictifs, viennent d’être libérés sous caution. Pourquoi ce qui est faisable pour eux, ne le serait il pas pour d’autres, précisément tous ceux en attente d’un jugement qui ne vient pas. Pourtant, des moyens techniques existent pour la surveillance d’individus en liberté conditionnelle, le bracelet électronique qui permet la surveillance à distance.
La pétition que je vous propose de signer concerne un homme intègre et sans reproche, haut fonctionnaire, Ambassadeur et spécialiste du monde arabe, dans les domaines de l’éducation, de la culture et des sciences, ex-PDG de la télévision Tunisienne sous le régime précédent.
Fervent partisan des droits de l’homme, je me suis toujours rangé du coté des plus faibles et des opprimés. J’ai cru un peu naïvement que les grands hommes de France tels que le président de la république française, Monsieur François Hollande, le ministre des relations extérieures, Monsieur Laurent Fabius, le président de l’Assemblée Nationale, Monsieur Claude Bartolone, le président du Sénat, Monsieur Jean-Pierre Bel, mais aussi l’Ambassadeur de France à Tunis, Monsieur François GOUYETTE pourraient faire avancer le débat. Je ne pense pas m’être trompé, mais les changements, s’ils devaient y en avoir, se font attendre. Le président du parlement Européen, Monsieur Martin Schulz, l’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Paris, Monsieur Charles H. RIVKIN, de même que l’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Tunis, Monsieur Jacob Walles et enfin, Madame Navanethem Pillay, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, à Genève sont tous dans la confidence. Malgré cela, je ne sens pas le frémissement nécessaire pour faire cesser ces entorses aux droits les plus élémentaires de chaque individu civilisé.
Indigné par tant d’injustice, c’est pour cette raison que je m’engage, pour cet homme bon que je connais, mais aussi pour tous ceux qui croupissent comme lui dans les geôles tunisiennes, alors que les délais d’incarcération, selon la loi du pays sont très largement dépassés.
Deux PDG de Tunis Air, emprisonnés dans une affaire d’emplois fictifs, viennent d’être libérés sous caution. Pourquoi ce qui est faisable pour eux, ne le serait il pas pour d’autres, précisément tous ceux en attente d’un jugement qui ne vient pas. Pourtant, des moyens techniques existent pour la surveillance d’individus en liberté conditionnelle, le bracelet électronique qui permet la surveillance à distance.
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