Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur 'Tout autoriser' ou activez uniquement les 'Cookies pour une publicité ciblée '
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Nous utilisons des cookies pour analyser l'utilisation de ce site par les visiteurs et vous offrir la meilleure navigation possible. Consultez ici notre politique de Cookies.
OK
Madame la ministre Marisol Touraine : Vaccin infantile, qui choisit quoi ?

Madame la ministre Marisol Touraine : Vaccin infantile, qui choisit quoi ?

1 personnes ont signé. Allons jusqu'à
50 soutiens

Clore

Finaliser votre signature

,
Pour vous désinscrire ou modifier vos données à tout instant, écrivez à unsubscribe@avaaz.org, ou utilisez le lien disponible dans chaque e-mail. Avaaz protégera vos informations personnelles et ne partage jamais les données avec des tiers.
Cette pétition a été lancée par verdet V. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
verdet V.
a lancé une pétition à destination de
Madame la ministre Marisol Touraine
- La loi n’impose à l’égard des nourrissons qu’un vaccin
trivalent, introuvable en pharmacie ; des vaccins plus complexes apparaissent de ce fait comme seuls choix possibles ; aucune étude scientifique n’a permis de démontrer l’innocuité de ces vaccins à long terme.

- Le principe de précaution a une véritable valeur
constitutionnelle ; la liberté de choix de chacun devrait être
préservée.

- Ces vaccinations ont un coup financier énorme ; on sait aujourd'hui stimuler notre immunité autrement que par des vaccins.

SIGNEZ CETTE PÉTITION

Le seul vaccin que la loi française impose pour tout nourrisson ne concerne que trois maladies, la Diphtérie, le Tétanos et la
Poliomyélite. Ce vaccin trivalent nommé DTP est introuvable en pharmacie. Les laboratoires pharmaceutiques préfèrent vendre des vaccins immunisant contre cinq ou six maladies à la fois. Ce choix n’est pourtant pas sans conséquence.
Ces vaccins plus complexes conduisent à injecter dans le corps de nos enfants plus d’antigènes, de protéines étrangères et d’adjuvants que ce que la loi exige ; sans parler des sels
d’aluminium, véritable poison, toujours présents dans leur
composition.
Nous sommes nombreux à penser que ces vaccinations jouent un rôle important dans l’augmentation constante des troubles immunitaires (maladies auto-immunes, diabète infantile), des troubles neurologiques (autisme), de l’asthme et des multiples intolérances alimentaires (gluten, protéine de lait de vache etc...).
En outre, bien souvent, plusieurs vaccins sont injectés le même jour chez le même enfant multipliant encore les risques d’allergie et de perturbation immunitaire.
Aucune étude scientifique objective n’a été conduite sur les
répercussions immédiates et secondaires de ces vaccinations
infantiles. Dès lors, si leur lien avec les affections constatées
n’a pas encore été mis en évidence, leur innocuité n’a pas
non plus été démontrée.
La complexité extrême par laquelle s’illustre la composition de ces vaccins empêche quiconque souhaiterait s’y intéresser
d’appréhender les risques potentiels liés à ces mélanges de
molécules étrangères.
Le principe de précaution devrait donc s’imposer pour laisser la liberté aux parents comme aux professionnels de santé, selon l'état de santé de l'enfant, de suivre strictement la loi (vaccin DTP) ou de préférer un éventail vaccinal plus large (Infanrixpenta, Infanrixhexa, Prevenar, Priorix...).
Conscients des incertitudes persistantes sur les conséquences des vaccinations infantiles, nombreux sont les parents qui souhaitent que leurs enfants ne reçoivent que le minimum vaccinal obligatoire.
Un vaccin n’est pas anodin. C’est un acte médical réfléchi, pas
une simple prescription de routine. Si la vaccination DTP infantile s’impose à tous, le médecin prescripteur doit en revanche librement apprécier l’opportunité d’injecter à son patient d’autres vaccins simplement recommandés mais non obligatoires.
Pourtant, depuis 2008, se procurer le DTP relève de l’impossible et les pharmacies ne délivrent que l'infanrixpenta ou l'Infanrixhexa.
Or, si les fabricants sont responsables des conséquences du vaccin obligatoire DTP, les autres vaccins recommandés actuellement sont injectés sous la seule responsabilité du praticien.
Contraint de recourir à ces vaccinations supplémentaires, le médecin n’en demeure pas moins responsable des effets indésirables susceptibles d’apparaître.
Les fabricants, quant à eux, se trouvent ainsi protégés, dédouanés par la décision du médecin de prescrire ces vaccins. Bien souvent, ils n’ont même pas connaissance des plaintes des patients ayant rencontré des complications. Dans ces conditions, les effets secondaires restent ignorés ou méconnus.
Parallèlement, beaucoup s’interrogent sur le bien-fondé de la vaccination comme moyen de protection infantile. La prévention médicale de nos nourrissons ne passe pas que par l'injection de substances chimiques étrangères. Ce n' est pas la seule alternative possible comme nous le font croire les laboratoires.
D’autres solutions peuvent effectivement être envisagées :
Une nourriture saine et équilibrée, un rythme de vie adapté, une écoute attentionnée des besoins exprimés par l’enfant, la lutte contre la pollution de l' eau, de l' air, l'utilisation de stimulants immunitaires naturels… ont d’ores et déjà montré leur efficacité dans la prévention de nombreuses maladies.
Cette vaccination a un coût. Si le simple vaccin trivalent obligatoire ne coûtait que 5 ou 6 euros en moyenne, le prix des vaccins hexavalents, disponibles aujourd’hui, est d’environ 40 euros. Lorsque l’on sait que les trois premières doses sont obligatoires pour chaque enfant, l’impact financier de cette situation, imposée par les laboratoires pharmaceutiques, mérite réflexion.
Pourquoi le DTP est il désormais introuvable en pharmacie ? Les fabricants craignent-ils que les autres vaccins ne soient plus utilisés ? Ces questions conduisent alors inéluctablement à s’interroger sur la légitimité des laboratoires pharmaceutiques à instaurer un état de fait aux conséquences aussi lourdes.

SIGNEZ
CETTE PÉTITION et DIFFUSEZ LÀ

En diffusant cette pétition le but est :

- de faire respecter la loi sur les vaccinations infantiles ;

- de protéger la santé de nos enfants dans le long terme en respectant le principe de précaution ;

- d’éviter ces apports non négligeables d'hydroxyde d'aluminium et de phosphate d'aluminium injectés définitivement dans leur corps ;

- d'obliger les laboratoires pharmaceutiques à mettre sur le marché un vaccin DTP, pour que les parents comme les professionnels de santé puissent déterminer le meilleur choix possible ;

- d’oser envisager d’autres possibilités de préventions et de stimulations immunitaires pour accompagner l’enfant dans sa rencontre avec les maladies ;

- L’ensemble des problématiques soulevées mériterait d’être
débattu car l'avancée médicale montre maintenant que notre
immunité dépend avant tout de notre bien être.

Dc Dominique VERDET
Publiée (Mis à jour )