Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur 'Tout autoriser' ou activez uniquement les 'Cookies pour une publicité ciblée '
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Mauro Poggia Conseiller d'Etat de Genève: Intervention de la Confédération Helvétique - Assurance Maladie Frontaliers

Mauro Poggia Conseiller d'Etat de Genève: Intervention de la Confédération Helvétique - Assurance Maladie Frontaliers

1 personnes ont signé. Allons jusqu'à
50 soutiens

Fermer

Finaliser votre signature

,
En continuant, vous acceptez de recevoir les courriels d'Avaaz. Notre Politique de confidentialité protège vos données et explique comment elles peuvent être utilisées. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment. Si vous avez moins de 16 ans, demandez l'accord de votre responsable légal.
Cette pétition a été lancée par Frontalier D. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Frontalier D.
a lancé une pétition à destination de
Mauro Poggia Conseiller d'Etat de Genève

Le gouvernement Français, aidé par le Groupement Transfrontalier Européen, a décidé unilatéralement d'intégrer de force les travailleurs frontaliers possédant un contrat d'assurance privée dans le régime de la Sécurité Sociale via la CMU à compter du 1er juin 2014.
Aujourd'hui les nouveaux frontaliers ont le choix entre la LAMal et la CMU, ne pouvant plus s'assurer par le biais d'une assurance privée.
Cette option que le gouvernement Français a opté de manière irréfléchie et précipitée, est lourde de conséquences économiques, sanitaires et sociales, aussi bien pour les frontaliers, que pour les réseaux de santé suisses.
Les HUG notamment, vont subir de lourdes pertes et il parait impensable que la Confédération Helvétique n'ait pas son mot à dire.

Les travailleurs frontaliers demandent à Monsieur Mauro Poggia, Conseiller d’État chargé du département de l'emploi, des affaires sociales et de la santé (DEAS) de remonter nos doléances aux plus hautes instances.

Publiée (Mis à jour )