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Un plan national pour la médecine du métabolisme
Encore D.
a lancé une pétition à destination de
Candidats à l'élection présidentielle, Candidat(e) à l'élection présidentielle de 2017
Notre médecine est gravement en retard sur les recherches en biologie &colon
90&percnt des maladies qui touchent nos sociétés vieillissantes pourraient
être évitées si l'on restaurait le métabolisme au sein des cellules, au
lieu de tenter de traiter les lourdes conséquences de son dérèglement qui survient avec l'âge. Cancers, diabète, démences &colon que
d'argent et de souffrance pourraient être ainsi économisés &excl
L'élection présidentielle peut être un déclic, car le Plan Médecine Métabolique a besoin d'une volonté politique pour réaliser ses promesses.
Aux Etats‐Unis, l'année 2016 a été marquée par l'envol des investissements consacrés à la médecine du métabolisme, dont les mécanismes commencent enfin à être compris ‐ et donc à pouvoir être traités. Les recherches récentes montrent que la santé du métabolisme peut être restaurée indépendamment de l'âge du patient &colon c'est l'aube d'une ère nouvelle pour la médecine, comparable à l'arrivée des vaccins il y a 100 ans ou des antibiotiques il y a 50 ans. Ne ratons pas le coche &excl
La France a une longue tradition d'excellence médicale ; l'apport de ses chercheurs a été décisif dans la victoire contre les maladies infectieuses, améliorant les conditions de vie de milliards d'êtres humains. Depuis Condorcet, selon lequel un monde sans maladies était possible, la République elle‐même s'est bâtie sur l'idée de progrès humain. Dans les actes, cela s'est traduit par des financements publics conséquents et courageux.
Nous demandons ainsi un acte républicain et clairvoyant, à la mesure de l'enjeu &colon
Premiers signataires &colon
Professeur Hugo Aguilaniu, CNRS
Professeur Johan Auwerx, EPFL
Professeur Etienne‐Emile Baulieu, Inserm
Professeur Miroslav Radman, Université René‐Descartes & MedILS
Lire la lettre complète &colon https&colon//sites.google.com/view/encoredebouts
L'élection présidentielle peut être un déclic, car le Plan Médecine Métabolique a besoin d'une volonté politique pour réaliser ses promesses.
Aux Etats‐Unis, l'année 2016 a été marquée par l'envol des investissements consacrés à la médecine du métabolisme, dont les mécanismes commencent enfin à être compris ‐ et donc à pouvoir être traités. Les recherches récentes montrent que la santé du métabolisme peut être restaurée indépendamment de l'âge du patient &colon c'est l'aube d'une ère nouvelle pour la médecine, comparable à l'arrivée des vaccins il y a 100 ans ou des antibiotiques il y a 50 ans. Ne ratons pas le coche &excl
La France a une longue tradition d'excellence médicale ; l'apport de ses chercheurs a été décisif dans la victoire contre les maladies infectieuses, améliorant les conditions de vie de milliards d'êtres humains. Depuis Condorcet, selon lequel un monde sans maladies était possible, la République elle‐même s'est bâtie sur l'idée de progrès humain. Dans les actes, cela s'est traduit par des financements publics conséquents et courageux.
Nous demandons ainsi un acte républicain et clairvoyant, à la mesure de l'enjeu &colon
- 1) la création d'un pôle de recherche national, financé en conséquence, capable d'attirer les meilleur(e)s chercheur(se)s de la discipline ;
- 2) un cadre légal novateur adapté aux particularités de la médecine du métabolisme.
Premiers signataires &colon
Professeur Hugo Aguilaniu, CNRS
Professeur Johan Auwerx, EPFL
Professeur Etienne‐Emile Baulieu, Inserm
Professeur Miroslav Radman, Université René‐Descartes & MedILS
Lire la lettre complète &colon https&colon//sites.google.com/view/encoredebouts
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