Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur 'Tout autoriser' ou activez uniquement les 'Cookies pour une publicité ciblée '
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Ministre de la Santé: Pour l'octroi à d'autres centres de pma de l'agrément pour le diagnostic pré-implantatoire

Ministre de la Santé: Pour l'octroi à d'autres centres de pma de l'agrément pour le diagnostic pré-implantatoire

1 personnes ont signé. Allons jusqu'à
50 soutiens

Fermer

Finaliser votre signature

,
En continuant, vous acceptez de recevoir les courriels d'Avaaz. Notre Politique de confidentialité protège vos données et explique comment elles peuvent être utilisées. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment. Si vous avez moins de 16 ans, demandez l'accord de votre responsable légal.
Cette pétition a été lancée par Aurélie J. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Aurélie J.
a lancé une pétition à destination de
Ministre de la Santé
Lorsque le patrimoine génétique d’un individu comporte une anomalie chromosomique ou génétique celui-ci risque de transmettre une maladie à son enfant. Trois solutions s’offrent alors aux couples concernés: - Tenter une grossesse naturelle avec un diagnostic prénatal (amniocentèse) et dans le cas où l’anomalie est transmise faire éventuellement pratiquer une interruption médicale de grossesse (IMG) - Recourir au don de gamètes avec des délais très longs dans la plupart des cas... - Tenter une procédure de fécondation in vitro avec diagnostic pré-implantatoire, le but étant de n’implanter dans l’utérus de la future mère uniquement un ou des embryons non atteints Pour ne pas subir l’épreuve douloureuse de l’IMG, nous sommes de nombreux, trop nombreux, couples à nous diriger vers le DPI. Or, dans notre pays il n’y a que 4 centres qui sont autorisés à le pratiquer (Clamart, Montpellier, Strasbourg et Nantes) et face à la demande grandissante, les délais de prise en charge s’allongent. Il faut compter entre 1 et 3 ans pour débuter un traitement. Certains choisissent d’attendre, d’autres se dirigent vers l’étranger… Nous demandons expressément à la Ministre de la Santé de prendre en considération notre demande et d’accorder l’agrément pour la pratique du DPI à d’autres centres de Procréation Médicale Assistée, dans le but de réduire les délais d’attente.
Publiée (Mis à jour )