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NON à la commercialisation du requin-bouledogue sur l'Ile de La Réunion
UCCPEMR R.
a lancé une pétition à destination de
Prefecture de l'Ile de La Réunion, Ministère de l'écologie, Ministre des Outre Mer
La préfecture de l’Ïle de La Réunion et le Ministre des Outre Mer Victorin Lurel souhaitent faciliter la commercialisation du requin-bouledogue afin d’aller dans le sens vindicatif d’une minorité de personnes.
L’UCCPEMR, en sa qualité de regroupement de citoyens, d’associations et de professionnels du milieu marin, s’oppose à la commercialisation de la chair de requin-bouledogue et à toute forme de prélèvement ayant pour finalité la vente de cette chair ou de produits dérivés de requin-bouledogue pour les raisons énumérées ci-après :
- Le requin bouledogue est une espèce quasi-menacée figurant sur la liste rouge de l’IUCN.
- La commercialisation de sa chair est interdite pour des raisons de santé publique et de sécurité sanitaire. Sa consommation peut engendrer de graves intoxications, comme la ciguatera, qui “ont un caractère fatal pour les consommateurs.”
- Aucune étude de marché n’a été réalisée et rien n’indique, à l’heure actuelle, qu’il puisse y avoir une demande pour soutenir l’offre.
- Le rachat des prises par une quelconque instance gouvernementale ne peut être acceptée en période de crise économique, et tandis que les intérêts de la majorité doivent être traités en priorité.
- Autoriser la commercialisation de cette espèce et par voie de conséquence sa pêche au sein et hors de la Réserve Marine de l’Ile de La Réunion aura des conséquences imprévisibles sur l’état actuel de la Réserve.
- Le prélèvement d’individus perturbera fortement et de façon irrémédiable le programme CHARC (700 000 euros) qui vise à étudier et mieux connaitre la biologie et le comportement des espèces de requin-tigre et de requin-bouledogue.
- Rappelons que ces mesures sont évoquées dans le cadre du dernier incident survenu et ayant occasionné le décès d’un jeune surfer. Or, à l’heure actuelle, l’espèce de requin mise en cause n’est toujours pas définie et aucune information n’a été communiquée à ce sujet. Il reste possible qu’il ne s’agisse pas d’un requin-bouledogue.
Par voie de conséquence et au vu des décisions scandaleuses en passe d’être soutenue par la préfecture et le Ministre des Outre Mer, nous demandons une réaction immédiate des décisionnaires concernés sur les points suivants :
- connaissance de l’espèce mise en cause validée par un scientifique à même de la définir sans doutes possibles.
- Une étude de marché devra être effectuée afin de définir si la population Réunionnaise souhaite ou non voir du requin possiblement contaminé dans son assiette.
- Une preuve devra être apportée quant à l’impact positif du prélèvement de cette espèce au sein de la Réserve Marine.
L’UCCPEMR, en sa qualité de regroupement de citoyens, d’associations et de professionnels du milieu marin, s’oppose à la commercialisation de la chair de requin-bouledogue et à toute forme de prélèvement ayant pour finalité la vente de cette chair ou de produits dérivés de requin-bouledogue pour les raisons énumérées ci-après :
- Le requin bouledogue est une espèce quasi-menacée figurant sur la liste rouge de l’IUCN.
- La commercialisation de sa chair est interdite pour des raisons de santé publique et de sécurité sanitaire. Sa consommation peut engendrer de graves intoxications, comme la ciguatera, qui “ont un caractère fatal pour les consommateurs.”
- Aucune étude de marché n’a été réalisée et rien n’indique, à l’heure actuelle, qu’il puisse y avoir une demande pour soutenir l’offre.
- Le rachat des prises par une quelconque instance gouvernementale ne peut être acceptée en période de crise économique, et tandis que les intérêts de la majorité doivent être traités en priorité.
- Autoriser la commercialisation de cette espèce et par voie de conséquence sa pêche au sein et hors de la Réserve Marine de l’Ile de La Réunion aura des conséquences imprévisibles sur l’état actuel de la Réserve.
- Le prélèvement d’individus perturbera fortement et de façon irrémédiable le programme CHARC (700 000 euros) qui vise à étudier et mieux connaitre la biologie et le comportement des espèces de requin-tigre et de requin-bouledogue.
- Rappelons que ces mesures sont évoquées dans le cadre du dernier incident survenu et ayant occasionné le décès d’un jeune surfer. Or, à l’heure actuelle, l’espèce de requin mise en cause n’est toujours pas définie et aucune information n’a été communiquée à ce sujet. Il reste possible qu’il ne s’agisse pas d’un requin-bouledogue.
Par voie de conséquence et au vu des décisions scandaleuses en passe d’être soutenue par la préfecture et le Ministre des Outre Mer, nous demandons une réaction immédiate des décisionnaires concernés sur les points suivants :
- connaissance de l’espèce mise en cause validée par un scientifique à même de la définir sans doutes possibles.
- Une étude de marché devra être effectuée afin de définir si la population Réunionnaise souhaite ou non voir du requin possiblement contaminé dans son assiette.
- Une preuve devra être apportée quant à l’impact positif du prélèvement de cette espèce au sein de la Réserve Marine.
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