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Opposons-nous aux campagnes publicitaires faisant l'apologie de l'infidélité
Jeanne J.
a lancé une pétition à destination de
Le procureur de la République
Ces campagnes publicitaires honteuses favorisent l’adultère, contrevenant ainsi à la demande explicite de fidélité inscrite dans l'article 212 du Code civil et évoquée durant la cérémonie de mariage par le maire devant les futurs époux. L’article 212 exprime en effet que « les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance ». Par ailleurs, comme le précise explicitement le livret étatique de préparation au mariage civil, « la fidélité est le premier des devoirs posé par le Code civil : elle répond à la force de l'engagement et du projet conjugal ». En France, plus de 23 millions de français, mariés à la mairie, ayant prononcé devant l’officier d’état civil cette obligation de fidélité, se sentent ainsi insultés.
Ces campagnes publicitaires honteuses favorisent le divorce. Le magazine Terrafemina nous révèle en effet que l’infidélité est le premier motif de divorce des couples, des divorces dont le nombre a augmenté de plus de 50% entre 1998 et 2003. Il peut être utile ici de rappeler les conséquences économiques sociales des drames que sont les divorces :
- Pour les enfants : troubles caractériels des enfants (violence, fugues…), peur d’être abandonné, moindre confiance, dépression, moindre réussite scolaire…
- Pour les parents : paupérisation plus forte, sentiment d’échec, dépression, isolement social…
Ces campagnes publicitaires honteuses choquent les usagers du métro parisien qui s’offusquent qu’on bafoue ainsi leurs valeurs les plus profondes. Qui aujourd’hui peut décemment se réjouir de savoir son conjoint le tromper quand on s’est juré fidélité pour la vie ?
Ces campagnes publicitaires honteuses sapent à terme la confiance entre l’Etat et ses citoyens. En effet, qui voudra demain rester honnête et respectueux vis-à-vis d’un Etat dont chacun aura pu constater le silence coupable face à la glorification de la trahison, du mensonge et de la duplicité.
Alors, faire l’apologie de l’adultère est-elle glamour ? Est-ce si drôle qu’il faille qu’on doive sourire devant ces affiches « amusantes » ou « légères ». Faut-il être réactionnaire pour s’en offusquer ? Faut-il être blasé pour accepter que nos enfants lisent de tels messages sans réaction des adultes ?
Fort de cette pétition, nous pourrons saisir le Procureur de la République afin qu’il puisse lancer les poursuites à l’encontre de la société Gleeden et de la société Médiatransport qui en permet la publicité.
Nous appelons les responsables français de la société Blackdivine propriétaires du site Gleeden, les frères Ravy et Teddy Truchot à stopper leurs campagnes insultantes et à modifier leur positionnement illégal.
Nous appelons le président de la régie publicitaire de la RATP Médiatransport, Jean-Marc Rheto, à refuser les campagnes d’affichages de ces sites Internet de rencontre qui poussent à l’adultère et qui heurtent profondément les valeurs profondeurs de ses clients.
Nous appelons la présidente du Jury de Déontologie Publicitaire de l'ARPP, Valérie Michel-Amsellem, à exercer son rôle de vigilance responsable, comme il est stipulé dans ses attributions.
Nous appelons les membres fondateurs de l’agence Melville, Francois Belley, Roland de Pierrefeu, Gabriel Granger, Sébastien Combemale, à assumer individuellement leur responsabilité, sans se cacher derrière une satisfaction de bon alois.
Nous appelons le Procureur de la République, chargé de faire appliquer la loi, à sanctionner la société BlackDivine (propriétaire du site Gleeden) ainsi que tous les prestataires contrevenant à la loi.
Enfin, nous appelons le Président de la République, François Hollande, garant de l’intégrité du pays et de la cohésion sociale, à tout mettre en œuvre pour faire cesser ces campagnes insultantes.
Ces campagnes publicitaires honteuses favorisent le divorce. Le magazine Terrafemina nous révèle en effet que l’infidélité est le premier motif de divorce des couples, des divorces dont le nombre a augmenté de plus de 50% entre 1998 et 2003. Il peut être utile ici de rappeler les conséquences économiques sociales des drames que sont les divorces :
- Pour les enfants : troubles caractériels des enfants (violence, fugues…), peur d’être abandonné, moindre confiance, dépression, moindre réussite scolaire…
- Pour les parents : paupérisation plus forte, sentiment d’échec, dépression, isolement social…
Ces campagnes publicitaires honteuses choquent les usagers du métro parisien qui s’offusquent qu’on bafoue ainsi leurs valeurs les plus profondes. Qui aujourd’hui peut décemment se réjouir de savoir son conjoint le tromper quand on s’est juré fidélité pour la vie ?
Ces campagnes publicitaires honteuses sapent à terme la confiance entre l’Etat et ses citoyens. En effet, qui voudra demain rester honnête et respectueux vis-à-vis d’un Etat dont chacun aura pu constater le silence coupable face à la glorification de la trahison, du mensonge et de la duplicité.
Alors, faire l’apologie de l’adultère est-elle glamour ? Est-ce si drôle qu’il faille qu’on doive sourire devant ces affiches « amusantes » ou « légères ». Faut-il être réactionnaire pour s’en offusquer ? Faut-il être blasé pour accepter que nos enfants lisent de tels messages sans réaction des adultes ?
Fort de cette pétition, nous pourrons saisir le Procureur de la République afin qu’il puisse lancer les poursuites à l’encontre de la société Gleeden et de la société Médiatransport qui en permet la publicité.
Nous appelons les responsables français de la société Blackdivine propriétaires du site Gleeden, les frères Ravy et Teddy Truchot à stopper leurs campagnes insultantes et à modifier leur positionnement illégal.
Nous appelons le président de la régie publicitaire de la RATP Médiatransport, Jean-Marc Rheto, à refuser les campagnes d’affichages de ces sites Internet de rencontre qui poussent à l’adultère et qui heurtent profondément les valeurs profondeurs de ses clients.
Nous appelons la présidente du Jury de Déontologie Publicitaire de l'ARPP, Valérie Michel-Amsellem, à exercer son rôle de vigilance responsable, comme il est stipulé dans ses attributions.
Nous appelons les membres fondateurs de l’agence Melville, Francois Belley, Roland de Pierrefeu, Gabriel Granger, Sébastien Combemale, à assumer individuellement leur responsabilité, sans se cacher derrière une satisfaction de bon alois.
Nous appelons le Procureur de la République, chargé de faire appliquer la loi, à sanctionner la société BlackDivine (propriétaire du site Gleeden) ainsi que tous les prestataires contrevenant à la loi.
Enfin, nous appelons le Président de la République, François Hollande, garant de l’intégrité du pays et de la cohésion sociale, à tout mettre en œuvre pour faire cesser ces campagnes insultantes.
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