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Pour la naissance ou renaissance d'une poésie économique. ..

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Cette pétition a été lancée par Sandi D. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
Sandi D.
a lancé une pétition à destination de
Tout un chacun
Peut-on véritablement mettre de la poésie dans l'économie?
Moi je réponds OUI:)
Au travers de projets de recherche-action visant à capter le ressenti créatif de chacun.e, pour l'exploiter dans la sphère de l'économie sociale et solidaire.
De fait, quitte à enseigner le "smurtz" à l'Université (http://blog.educpros.fr/jean-charles-cailliez/2015/07/12/et-si-lon-enseignait-le-smurtz-a-luniversit......), docteure ès sciences économiques, j'ai écrit un calligramme représentant notre pays (http://www.soleils-et-cendre.org/file/BonComm112.jpg) .
Guillaume Apollinaire - mort pour la France le 9 novembre 1918 - disait bien "on peut être poète dans tous les domaines: il suffit que l'on soit aventureux et que l'on aille à la découverte".
Voyager... En effet, cette thématique apparaît comme centrale en tant que support d'inspiration dans un projet associatif précédent, où je me proposais - à partir d'un questionnement générique, objet d'apprentissage - d'esquisser le système d'information et de communication associé à la poésie.
A travers l'administration d'un questionnaire, assortie d'une programmation évènementielle - je propose cette fois à tout.e un.e chacun.e de mettre des mots sur sa créativité. Ce n'est pas si anodin dans un monde où le capitalisme prend toute la place, lorsqu'il n'est pas remplacé par un obscurantisme dont le terrorisme et l'intégrisme sont l'autre face.
Dans la mouvance de feu Oncle Bernard - qui fut aussi directeur du laboratoire de recherche où je fus doctorante - je dis que les mots tels des miroirs renvoient de belles armes. Parce qu'au-delà de la nécessité de travailler, pour manger et consommer ce que l'on produit, l'économie renvoie aussi - si "ce monde est sérieux" (Francis Cabrel) - à des considérations géopolitiques, où la Chine et l'Inde auront sans doute les plus grosses parts du gâteau; face à une Europe vieillissante et, pour l'instant, quelque peu impuissante à gérer les problèmes financiers et de flux migratoires.
Dès lors, pour "rallumer les étoiles" (Guillaume Apollinaire) dans les yeux de nos jeunes gens tout en tentant d'adoucir les mœurs, pourquoi ne pas suivre la thèse d'Oncle Bernard, où dans son petit monde de cigales et de fourmis - sans considération de frontières, de races, de religions ou de couleurs de peau - les poètes pourraient être utiles aux marchand.es, dans la chaîne de création de la valeur?
Chacun.e peut être créatif/ve à sa façon (http://www.nomadity.be/blog_creativite/la-creativite-un-passeport-pour-la-ville/). Aussi, dans l'expression de cette faculté innée et du développement personnel qui lui est associé, les figures socio-économiques adaptées et adaptables ne pourront refléter qu'une absence de compétition; à son tour, un gage de liberté d'expression des plus productive en la matière...
Tentons donc ensemble de créer et de plébisciter la poétique économie; à l'ère des étudiant.es-entrepreneur.es, des start-up, des incubateurs (https://fr.wikipedia.org/wiki/Incubateur_d'entreprises) et à l'heure où les députés viennent de voter en faveur de l'ouverture d'une partie du capital des écoles de management aux investisseurs publics et privés.
Pourquoi, dès lors, le 12 septembre de chaque année - le jour de la fête d'Apollinaire sur le calendrier - ne pas organiser des manifestations de rue, mettre en avant des initiatives autour de ce mélange des genres artistiques, autour de l'entrepreneuriat créatif, autour d'une socio - économie de solidarité en faveur des pays en lutte contre le terrorisme, en développant aussi - en partenariat avec les ministères du tourisme et de la culture concernés - des grilles de tarification attractives, eu égard à la proposition de visites virtuelles du patrimoine des pays en proie aux attentats? De même, les musées et les organismes de tutelle associés pourraient redistribuer à ces mêmes territoires des fonds correspondant à l'exploitation des pièces et des collections - propriétés et éléments patrimoniaux de ces pays en proie au terrorisme de masse...

Essayons, donc, ensemble, de faire naître et vivre le jour de l'économie poétique;
par avance, merci!:)





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