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Garantir la protection des animaux errants
Myriam B.
a lancé une pétition à destination de
Le chef de l'état de la Tunisie
À l'attention du chef de l'état tunisien,
À tous les ministères concernés,
Nous, citoyens/citoyennes volontaires spontanément impliqué(e)s dans des missions de sauvetage d'animaux errants, soucieux/soucieuses de leur sécurité et convaincu(e)s de leur droit à une vie décente,
Nous déplorons la situation actuelle en Tunisie. Les abattages de chiens errants continuent dans la majorité des municipalités.
Les animaux, faute de politique globale de stérilisation, prolifèrent et meurent dans les rues, faute de soins. Les cas de maltraitance et de tortures restent impunis.
Dans le code pénal tunisien, il n’existe aucune loi pour protéger les chiens et chats errants ainsi que les autres espèces utilisées par les humains pour travailler et jetées en cas de maladie ou prise d'âge.
L'article 317 du code pénal tunisien prévoit 15 jours d'emprisonnement et une amende de 4,80 dinars (soit 1,46 euros) pour ceux qui exercent un mauvais traitement envers les animaux domestiques.
Rappelons que les autres pays ont fait des avancées considérables.
En France le code pénal punit toute personne commettant un acte de cruauté ou de maltraitance sur un animal d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros.
En Allemagne, la cruauté envers les animaux peut valoir jusqu’à trois d’emprisonnement.
Nous demandons que les lois soient révisées et que les animaux soient protégés.
Nous demandons une loi qui aborde et condamne avec sévérité tous les abus et maltraitrances envers les animaux, toutes espèces confondues.
Nous aspirons à une Tunisie où tous les êtres qui la peuplent puissent vivre en toute sécurité.
À tous les ministères concernés,
Nous, citoyens/citoyennes volontaires spontanément impliqué(e)s dans des missions de sauvetage d'animaux errants, soucieux/soucieuses de leur sécurité et convaincu(e)s de leur droit à une vie décente,
Nous déplorons la situation actuelle en Tunisie. Les abattages de chiens errants continuent dans la majorité des municipalités.
Les animaux, faute de politique globale de stérilisation, prolifèrent et meurent dans les rues, faute de soins. Les cas de maltraitance et de tortures restent impunis.
Dans le code pénal tunisien, il n’existe aucune loi pour protéger les chiens et chats errants ainsi que les autres espèces utilisées par les humains pour travailler et jetées en cas de maladie ou prise d'âge.
L'article 317 du code pénal tunisien prévoit 15 jours d'emprisonnement et une amende de 4,80 dinars (soit 1,46 euros) pour ceux qui exercent un mauvais traitement envers les animaux domestiques.
Rappelons que les autres pays ont fait des avancées considérables.
En France le code pénal punit toute personne commettant un acte de cruauté ou de maltraitance sur un animal d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros.
En Allemagne, la cruauté envers les animaux peut valoir jusqu’à trois d’emprisonnement.
Nous demandons que les lois soient révisées et que les animaux soient protégés.
Nous demandons une loi qui aborde et condamne avec sévérité tous les abus et maltraitrances envers les animaux, toutes espèces confondues.
Nous aspirons à une Tunisie où tous les êtres qui la peuplent puissent vivre en toute sécurité.
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