Contre la Puce RFID sous cutanée
La réponse est simple :
on obtiendrait alors une dictature mondiale dont les opposants éventuels seraient bien vite éliminés, et ce en toute discrétion ! Quant à la liberté de pensée, elle disparaîtrait également ! « Big Brother » serait alors en possession d’une armée d’esclaves humains privés de toute volonté et soumis à l’esclavage de cette maudite micro-puce !!!
- Il n’y a plus de doutes à avoir après ce que vous venez de lire : LA MICRO-PUCE EST BIEN L’ABOUTISSEMENT D’UNE CONSPIRATION MONDIALE ET DE PROJETS SECRETS QUE L’ON NOUS A PREPARES DEPUIS PLUS DE 35 ANS !!!Bien. évidemment, la micro-puce ne s’est pas encore installée partout, et il n’y a, pour l’instant, qu’en Australie et en Nouvelle-Zélande où l’usage commence à en être imposé. Et puis, bien sûr, « cela n’arrive jamais qu’aux autres »...
Mais il serait temps de se bouger le c... avant que la micro-puce soit IMPOSEE chez nous ! Cela risque de se produire très bientôt, car la microchip est déjà bien répandue sur la planète et acquiert une « force de conviction » telle que peu de choses resteront faisables pour la contrer, SAUF SI NOUS REAGISSONS DES MAINTENANT !
« Mais nous vivons quand même en démocratie, donc personne ne viendra nous l’imposer, cette puce ! » . Mouais, peut-être, mais alors, vous oubliez une chose :
certaines organisations de protection de la vie privée ont protesté contre la microchip « verichip ». Mais leurs arguments ont été balayés d’un revers de main par Applied Digital Solutions.
« Les bénéfices à en attendre sont plus importants que les inquiétudes concernant la vie privée », a déclaré le PDG d’A.D.S., Richard Sullivan.
Quelle belle morale, ne trouvez-vous pas ? Eh, oui ! Si nous vivons encore (pour l’instant !) politiquement en démocratie, économiquement, c’est la dictature capitaliste et néo-libéraliste qui prime sur tout le reste !!!
Et puis, ces gros commerciaux ne sont pas si bêtes ! Nous venons de vous parler des aspects mortellement dangereux de la micro-puce, mais ils viendront vous la présenter avec une voix mielleuse et « pleine de bonnes intentions », et on vous la présentera sous son meilleur jour !!!
Cependant, et à titre d’avertissement, sachez ceci : A.D.S. , dans son projet, ne cache pas que sa micro-puce, entre autres utilisations, sert à « FOURNIR UN MODELE D’IDENTIFICATION INFAILLIBLE, ABSOLU ET A TOUTE EPREUVE, DES INDIVIDUS ». Vous voilà prévenus !!!
Comment« on » essaiera de nous faire accepter cette maudite micro-puce?
Comme nous l’avons dit ci-dessus, on nous présentera la microchip sous-cutanée sous ses meilleurs aspects afin de nous la faire accepter et de « faire passer la pilule ». Mais n’oubliez jamais une chose : si vous vous faites implanter cette saleté dans le corps, c’en sera fini de votre libre arbitre, de votre vie privée et de votre liberté !
Voici donc quelques arguments « mielleux » qui ont été présentés par A.D.S. et sa filiale, « Verichip ». La verichip sera susceptible d’être utilisée pour :
la sécurité dans le nouveau domaine du réseau Internet et dans toute transaction impliquant des échanges électroniques (commerce électronique).
la recherche et le sauvetage d’invidus incluant les enfants perdus ou pris en otage etc.
le monitoring médical de patients à risque
la surveillance, le pistage et le suivi de militaires, de diplomates ou de tout autre membre important d’un gouvernement
le pistage, la surveillance et la vérification de l’authenticité de biens de haute valeur
le pistage, la localisation et le suivi des pistes ou sillages laissés par les enthousiastes de sports sauvages, et qui auraient pu se blesser gravement à la suite d’un accident
Définition: La carte d'identité électronique, axe central de la loi "relative à la protection de l'identité" adoptée en deuxième lecture par les députés la semaine dernière, sera délivrée dans 2.000 communes lors de son lancement fin 2012
Les députés ont examiné hier en dernière lecture la proposition de loi créant une carte d'identité biométrique, dont les données pourront être utilisées par la police.
il aura fallu quatre lectures au Sénat et jusqu'à cinq à l'Assemblée pour que la proposition de loi créant une carte d'identité électronique soit définitivement formulée. Le texte, défendu à l'origine par les sénateurs UMP Jean-René Lecerf et Michel Houel, sera adopté par les députés le 6 mars prochain. La nouvelle majorité sénatoriale a eu beau ferrailler, cette nouvelle carte d'identité sera bel et bien reliée, via une puce, à un fichier centralisé contenant les données biométriques de chaque titulaire. Le scénario de la base « à lien fort », qui associe une identité à une empreinte donnée, l'a emporté sur celui de la base à « lien faible », qui associe, elle, une empreinte à un ensemble d'identités.
L'avantage de la base à « lien fort » est de pouvoir non seulement reconnaître une usurpation d'identité (dont 100.000 personnes seraient victimes chaque année) mais aussi d'identifier l'usurpateur. La base de données en ce cas servant tout à la fois de fichier administratif permettant de sécuriser la délivrance de titres, mais aussi de fichier de police judiciaire. C'est justement ce que voulait éviter l'opposition, qui dénonce la création d'un fichier de « plus de 40 millions d'honnêtes gens ». Ce sera le plus gros fichier biométrique qui ait jamais existé en France.
Sous la pression des sénateurs, les députés ont tout de même accepté une série d'encadrements. Il sera notamment impossible d'interconnecter ce fichier avec d'autres bases de données et son utilisation à des fins de police judiciaire ne pourra se faire que sous le contrôle d'un magistrat et pour les seules infractions relatives à l'usurpation d'identité. La reconnaissance faciale a été écartée et seules deux empreintes individuelles seront enregistrées (huit étaient initialement prévues).
Des garanties qui n'ont pas satisfait l'opposition : « Ce fichier est une véritable bombe à retardement, insiste le député PS Jean-Jacques Urvoas, spécialiste des questions de sécurité. Pour le moment, c'est encadré juridiquement, mais il suffira de changer un article de la loi pour que tout soit remis en cause. » La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), dans un avis d'octobre 2011, soulignait pour sa part qu' « un fichier est d'autant plus vulnérable, "convoité" et susceptible d'utilisations multiples qu'il est de grande dimension, qu'il est relié à des milliers de points d'accès et de consultation, et qu'il contient des informations très sensibles comme des données biométriques ». Les procédures d'accès au fichier seront un des premiers points de vigilance.
La proposition de loi intègre une deuxième puce, facultative, qui pourra être utilisée par le titulaire de la carte d'identité pour s'authentifier sur Internet, par exemple dans le cadre d'achats commerciaux.