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
Gouvernement français: Libération sans poursuites des interpellé-e-s du 23 janvier à Calais
khadija L.
a lancé une pétition à destination de
Gouvernement français
Suite
à la manifestation en soutien aux réfugiés et aux sans-papiers du
23/01 à Calais, plusieurs militants des droits des étrangers ont
été interpellés, placés en garde à vue puis soit relâchés
et placés sous contrôle judiciaire, soit détenus ou placés
en Centre de Rétention Administrative.
La
différence de traitement de nos camarades tient à leur nationalité.
Les réfugiés sans papiers sont détenus alors qu'ils avaient des
preuves d'hébergement et offraient autant de garanties que les
français placés sous contrôle judiciaire.
Trois personnes
de nationalité italienne ont été privées de liberté en CRA
alors qu'elles sont ressortissantes européennes. Elles étudient
et travaillent
en France depuis plusieurs années et le préfet s'est rendu compte de son erreur quand il les a libéré mercredi 27 janvier en fin de journée.
Nous
dénonçons un traitement xénophobe des interpellé-e-s du 23/01 et
demandons la levée immédiate des poursuites pour toutes et tous.
Nous dénonçons les politiques migratoires européennes qui tuent chaque années de plus en plus de réfugié-e-s qui cherchent simplement une vie meilleure et digne.
à la manifestation en soutien aux réfugiés et aux sans-papiers du
23/01 à Calais, plusieurs militants des droits des étrangers ont
été interpellés, placés en garde à vue puis soit relâchés
et placés sous contrôle judiciaire, soit détenus ou placés
en Centre de Rétention Administrative.
La
différence de traitement de nos camarades tient à leur nationalité.
Les réfugiés sans papiers sont détenus alors qu'ils avaient des
preuves d'hébergement et offraient autant de garanties que les
français placés sous contrôle judiciaire.
Trois personnes
de nationalité italienne ont été privées de liberté en CRA
alors qu'elles sont ressortissantes européennes. Elles étudient
et travaillent
en France depuis plusieurs années et le préfet s'est rendu compte de son erreur quand il les a libéré mercredi 27 janvier en fin de journée.
Nous
dénonçons un traitement xénophobe des interpellé-e-s du 23/01 et
demandons la levée immédiate des poursuites pour toutes et tous.
Nous dénonçons les politiques migratoires européennes qui tuent chaque années de plus en plus de réfugié-e-s qui cherchent simplement une vie meilleure et digne.
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