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Madame La Maire de Paris, sauvez l'association La Clepsydre!
soutienalaclepsydre S.
a lancé une pétition à destination de
La Maire de Paris, Anne Hidalgo
Pétition pour la défense de La Clepsydre : A
l’attention de Madame HIDALGO, Maire de Paris
Nous, patients de La Clepsydre, allocataires du RSA, travailleurs précaires, chômeurs, réfugies, apprenons avec
stupeur, incompréhension et colère, la fermeture programmée de ce centre de soin.
Une équipe de psychologues et psychanalystes, des bénévoles et des salariés, compétents et dévoués,
nous offrent la possibilité unique d’un accompagnement et d’un soutien qui nous sont vitaux.
C’est d’autant plus remarquable qu’il est rare, très rare, de trouver un lieu dont la mission sociale soit à la hauteur de sa tâche.
Combien d’entre nous sommes en capacité de payer un psychologue ou un psychanalyste ? Aucun !
Combien de suicides ou de graves dépressions sont évités grâce à leur action ?
Savez‐vous, Madame, à quel point il est dur de vivre sans travail, sans argent ? Ou d’un travail trop peu payé ? Ignorez‐vous le degré de douleur engendré par cette situation ? Situation liée à la crise économique qui dure et perdure.
Pour retrouver un travail dans un contexte si tendu, ou simplement continuer à travailler avec un salaire de misère, nous devons balayer la honte et la perte de confiance inhérente à cette précarité, nous avons besoin d’être aidé. Car qui dit précarité sociale dit précarité et souffrance psychologique.
Madame Hidalgo, nous vous demandons instamment de donner la possibilité à La Clepsydre de vivre et
de continuer sa mission. Elle est absolument essentielle.
Il nous semble qu’une Mairie de gauche s’honorerait de répondre favorablement à cette requête de justice sociale.
l’attention de Madame HIDALGO, Maire de Paris
Nous, patients de La Clepsydre, allocataires du RSA, travailleurs précaires, chômeurs, réfugies, apprenons avec
stupeur, incompréhension et colère, la fermeture programmée de ce centre de soin.
Une équipe de psychologues et psychanalystes, des bénévoles et des salariés, compétents et dévoués,
nous offrent la possibilité unique d’un accompagnement et d’un soutien qui nous sont vitaux.
C’est d’autant plus remarquable qu’il est rare, très rare, de trouver un lieu dont la mission sociale soit à la hauteur de sa tâche.
Combien d’entre nous sommes en capacité de payer un psychologue ou un psychanalyste ? Aucun !
Combien de suicides ou de graves dépressions sont évités grâce à leur action ?
Savez‐vous, Madame, à quel point il est dur de vivre sans travail, sans argent ? Ou d’un travail trop peu payé ? Ignorez‐vous le degré de douleur engendré par cette situation ? Situation liée à la crise économique qui dure et perdure.
Pour retrouver un travail dans un contexte si tendu, ou simplement continuer à travailler avec un salaire de misère, nous devons balayer la honte et la perte de confiance inhérente à cette précarité, nous avons besoin d’être aidé. Car qui dit précarité sociale dit précarité et souffrance psychologique.
Madame Hidalgo, nous vous demandons instamment de donner la possibilité à La Clepsydre de vivre et
de continuer sa mission. Elle est absolument essentielle.
Il nous semble qu’une Mairie de gauche s’honorerait de répondre favorablement à cette requête de justice sociale.
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