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Office des étrangers: Une régularisation de la famille Mgroyan en Belgique
Wouters W.
a lancé une pétition à destination de
Office des étrangers
Venant d’Arménie, d’une région touchée par la guerre et de vives tensions ethniques, la famille Mgroyan a dû tout quitter précipitamment voici près de 8 ans. La famille a rejoint la Belgique en 2009 et s’est installée à Rixensart en 2011. Ses quatre enfants sont scolarisés dans des écoles de la région. Ce sont des élèves exemplaires et leur intégration est unanimement reconnue.
Les membres de cette famille sont pourtant menacés d’une expulsion imminente. Une demande de permis de séjour a été déclarée non recevable par l’Office des étrangers à la date du 14 décembre 2016. Un recours peut être introduit dans les 30 jours de la notification, d’ici au 20 janvier 2017. Un avocat s’en charge.
Malheureusement, le recours n’est pas suspensif. La famille pourrait être expulsée à tout moment après le 20 janvier &excl Les avocats souhaitent introduire une nouvelle demande d’asile auprès du Commissariat général aux réfugiés et apatrides.
La famille a dû fuir en toute hâte, non sans avoir subi des sévices. Il n’y a pas de retour possible sans mettre en danger ses membres. Les Mgroyan ont quatre enfants, à l’école communale du Centre (Rixensart) et au collège Notre‐Dame des Trois Vallées (Notre‐Dame des Anges, à Genval, et Alix‐Le‐Clerc, à La Hulpe).
Les jeunes enfants participent régulièrement aux activités de l’antenne Ecole des Devoirs D’Clic implantée à Rixensart. Les deux adolescentes prennent part aux animations mises en place par le « Plan de Cohésion Sociale » tout comme les parents qui ont suivi les cours de français langue étrangère, ainsi que les cours de citoyenneté organisés par le service D’Clic.
Les plus jeunes enfants n’ont connu que la Belgique et ne parlent que le français. Leur renvoi s’avérerait particulièrement inhumain.Les témoignages affluent au sein des écoles pour décrire des élèves exemplaires, des parents attentifs. « C'est une famille admirable, il n'y a pas d'autre mot » , souligne une personne qui travaille avec les enfants.
Nous (professeurs, élèves, parents des écoles concernées, associations, voisins de la famille, citoyens de Rixensart et des environs) prenons leur défense et demandons que leur situation soit revue par les autorités. Nous souhaitons une approche humanitaire du dossier, afin que la famille puisse poursuivre son parcours d’intégration en Belgique, à l’abri des dangers.
Les membres de cette famille sont pourtant menacés d’une expulsion imminente. Une demande de permis de séjour a été déclarée non recevable par l’Office des étrangers à la date du 14 décembre 2016. Un recours peut être introduit dans les 30 jours de la notification, d’ici au 20 janvier 2017. Un avocat s’en charge.
Malheureusement, le recours n’est pas suspensif. La famille pourrait être expulsée à tout moment après le 20 janvier &excl Les avocats souhaitent introduire une nouvelle demande d’asile auprès du Commissariat général aux réfugiés et apatrides.
La famille a dû fuir en toute hâte, non sans avoir subi des sévices. Il n’y a pas de retour possible sans mettre en danger ses membres. Les Mgroyan ont quatre enfants, à l’école communale du Centre (Rixensart) et au collège Notre‐Dame des Trois Vallées (Notre‐Dame des Anges, à Genval, et Alix‐Le‐Clerc, à La Hulpe).
Les jeunes enfants participent régulièrement aux activités de l’antenne Ecole des Devoirs D’Clic implantée à Rixensart. Les deux adolescentes prennent part aux animations mises en place par le « Plan de Cohésion Sociale » tout comme les parents qui ont suivi les cours de français langue étrangère, ainsi que les cours de citoyenneté organisés par le service D’Clic.
Les plus jeunes enfants n’ont connu que la Belgique et ne parlent que le français. Leur renvoi s’avérerait particulièrement inhumain.Les témoignages affluent au sein des écoles pour décrire des élèves exemplaires, des parents attentifs. « C'est une famille admirable, il n'y a pas d'autre mot » , souligne une personne qui travaille avec les enfants.
Nous (professeurs, élèves, parents des écoles concernées, associations, voisins de la famille, citoyens de Rixensart et des environs) prenons leur défense et demandons que leur situation soit revue par les autorités. Nous souhaitons une approche humanitaire du dossier, afin que la famille puisse poursuivre son parcours d’intégration en Belgique, à l’abri des dangers.
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