Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur " Tout autoriser" ou activez uniquement les Cookies pour une publicité ciblée
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Gaza: pas en notre nom!
Gaza: pas en notre nom!
Signer la pétition

Aux dirigeants du monde entier:

Nous refusons d’être complices. Nous refusons que nos impôts financent ces crimes. Nous appelons nos dirigeants, nos élus à cesser immédiatement tout soutien à ce massacre.
Ajoutez votre nom à notre lettre ouverte et faites entendre votre voix:
Logged User Icon Ce n'est pas vous? Cliquez ici
En continuant, vous acceptez de recevoir les messages d'Avaaz. Notre Politique de confidentialité protège vos données personnelles et détaille comment elles peuvent être utilisées. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

Derniers signataires

Aux dirigeants du monde entier:
"Nous refusons d’être complices. Nous refusons que nos impôts financent ces crimes. Nous appelons nos dirigeants, nos élus à cesser immédiatement tout soutien à ce massacre."
Le silence ne signifie pas que l’horreur a cessé. Gaza est plus que jamais une zone de mort et de souffrances inimaginables. Loin des caméras, l’armée israélienne continue ses bombardements, coupe l’électricité et l’aide humanitaire et affame tous les habitants de Gaza.

Seuls les chiens sont gras, parce qu’ils mangent les corps suppliciés.

La nuit dernière encore, plus de 413 Palestiniens ont encore été massacrés par Israël dans des frappes indiscriminées. Pendant ce temps, Israël a coupé l’électricité et les approvisionnements en eau et en nourriture et les hôpitaux sont en ruines. Les enfants meurent de malnutrition, les cadavres gisent sous les gravats. L’ONU, Amnesty et de nombreux experts parlent d’un génocide et le Président Nétanyahou fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

Et pourtant, nos gouvernements continuent de soutenir Israël. En France, l’ancien Premier ministre, Gabriel Attal, revient d’une visite visant à témoigner son soutien à Israël. Le président Macron dit que son pays pourrait accueillir Nétanyahou.

Parlez-en à vos amis!