Nahel avait la vie devant lui.

Lorsque sa mère est partie travailler ce matin-là, sa mère ne pouvait s’imaginer qu’elle ne le reverrait jamais. Une heure plus tard, elle apprenait la mort de son fils, tué à bout portant par la police lors d’un banal contrôle routier. Il n’avait que 17 ans.

La mort brutale de Nahel n’est pourtant pas un cas isolé: les tirs mortels des forces de l’ordre ont explosé depuis que la réforme de 2017 leur donne carte blanche pour décider si la situation justifie de tirer.

Le gouvernement sait qu’il doit agir pour répondre à l’émotion nationale – et une grande mobilisation citoyenne pourrait le contraindre à abroger cette loi. Alors rassemblons un million de voix exigeant un encadrement plus sûr des tirs de police pour mettre fin à cette épidémie de violence. Avaaz fera entendre notre appel dans les médias et directement auprès du gouvernement.